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2004-04-24

Manif : Suspension de l’accord d’association Union Européenne - Israël

Manifestation de solidarité avec le peuple palestinien

FAISONS TOMBER LE MUR DE L’APARTHEID

Suspension de l’accord d’association Union Européenne - Israël

La campagne internationale contre le mur et pour la fin de l’occupation des territoires palestiniens rencontre un large soutien. Nous irons remettre aux députés les dizaines de milliers de pétitions déjà recueillies, pour exiger :

 le démantèlement du "mur" ;

 la suspension de l’accord d’association entre la Communauté européenne et Israël (conformément au vote du parlement européen du 10 avril 2002, resté lettre morte) tant que l’État d’Israël ne respectera pas les droits de l’Homme ;
l’adoption par les Nations unies de mesures contraignantes à l’égard de l’État d’Israël pour qu’il applique enfin les nombreuses résolutions de l’ONU le concernant ;

 la création et l’envoi immédiat d’une force de protection internationale du peuple palestinien ;

 un débat au parlement mandatant le gouvernement français pour agir en ce sens.

Samedi 24 avril à 14h du RER Luxembourg à l’Assemblée Nationale

Premiers signataires : Abnah Philistine, Action Citoyenne pour la Palestine, Les Alternatifs, Américains Against the War, Association France Palestine Solidarité, AMF, ATMF, Casques Bleus Citoyens, CCIPPP, Collectif Palestine Banlieue nord, Coordination des Comités Palestine, CVPR, GUPS, Femmes en noir, SICO, UJFP, UTIT...

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La face cachée de Reporters sans frontières - de la CIA aux faucons du Pentagone.
Maxime VIVAS
Des années de travail et d’investigations (menées ici et sur le continent américain) portant sur 5 ans de fonctionnement de RSF (2002 à novembre 2007) et le livre est là . Le 6 avril 2006, parce que j’avais, au détour d’une phrase, évoqué ses sources de financements US, RSF m’avait menacé dans le journal Métro : " Reporters sans frontières se réserve le droit de poursuivre Maxime Vivas en justice". Au nom de la liberté d’expression ? m’étonné-je. Quoi qu’il en soit, j’offre aujourd’hui (…)
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« Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu d’appeler la tomate de merde “tomate de merde”, ils l’ont appelée “tomate”, tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue “tomate bio”. À partir de là, c’était foutu. »

Inconnu

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