Voilà l’Internationale médiatico-libérale de l’Occident à l’oeuvre. Les journalistes de ces quotidiens et de la télévision ne travaillent plus : leur but n’est plus la vérité mais les commandements de leurs maîtres. Or, où que cela soit dans le monde, si cela sert les intérêts de ces derniers, mieux vaudra toujours la peste brune que l’humanisme et le socialisme : Lula, Maduro, Castro, Corbyn ou Mélenchon, bien que différents, sont unis par le traitement médiatique qu’on leur inflige. Ils sont trop "à gauche" et la menace qu’ils représentent exige de les écraser. Enfermement, déstabilisation, blocus commencent tous par le même point de départ : dénigrement, diffamations et mensonges médiatiques. Si j’étais journaliste dans ces organes, je n’oserais plus me regarder dans une glace.