
Le Venezuela et Libération, qui fut de gauche (je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans…).

A ma droite, Henrique Capriles. A ma gauche, Nicolas Maduro.
Libération nous les présente (1).
« Capriles est né dans une famille riche : son père dirige un empire médiatique et sa mère possède le principal distributeur cinématographique du pays. Il a été éduqué dans la meilleure école privée de Caracas ».
Parfait et pas trop violent.
Quant à Nicolas Maduro, « Il n’était pas prêt pour recevoir le poids énorme de cet héritage » [de Chavez] il a enchaîné des énormités : « Nous nous multiplierons comme le Christ a multiplié les pénis… Pardon, les pains [penes et panes, en espagnol, ndlr]. »
Et pour bien enfoncer Maduro, Libération encense (un peu tard) Chavez (« géant de la patrie »), naguère traîné dans la boue à coups de mensonges dans ses colonnes. Il faut relire l’article que Libération publia sous le titre « Le credo antisémite de Hugo Chavez », véritable crapulerie que LGS démonta magistralement grâce à notre collaborateur, Romain Migus, journaliste en poste à Caracas. C’est ici : http://www.legrandsoir.info/Chavez-antisemitisme-et-campagne-de-desinformation-a-propos-d.html
Reviens, Sartre, ils sont en dessous de tout !
Théophraste R.
(1)http://www.liberation.fr/planete/2015/12/07/venezuela-sans-chavez-le-chavisme-sombre_1419061