16
Essayez de trouver un article positif sur la Chine dans l’un des principaux médias mondiaux

La rhétorique anti-Chinoise est hors limites dans les médias occidentaux

L’une des principales caractéristiques des grands médias occidentaux d’aujourd’hui est l’acharnement contre la Chine. Il s’agit d’un phénomène hors normes et fatigant, qui implique souvent des anecdotes régurgitées ou des histoires fabriquées de toutes pièces, sans aucune preuve à l’appui, de déclarations impitoyables sur le pays, ce qui témoigne d’un profond manque de compréhension. Mais de telles histoires continuent d’être débitées sans que l’on puisse en voir la fin.

L’hystérie de masse reflète les préjugés inhérents aux médias les plus puissants du monde.

Il est presque impossible de contrer ce phénomène dans les médias internationaux en offrant des points de vue plus équilibrés à un public mondial, car la censure est omniprésente. Il semble presque y avoir un pacte mondial pour contrôler le récit, une guerre de propagande alimentée par la technologie numérique d’aujourd’hui.

Essayez simplement de trouver un article positif sur la Chine n’importe quel jour de la semaine dans l’un des principaux médias mondiaux. Hormis les reportages de janvier sur le Nouvel An lunaire, il n’y en aura pratiquement aucun, et ceux-ci auront probablement une tournure négative. Il semblerait qu’un mémo confidentiel circule au sein des groupes de médias occidentaux pour guider les journalistes et les rédacteurs en chef afin de s’assurer qu’il ne peut y avoir aucune nouvelle positive provenant d’un pays comptant 1,3 milliard d’habitants.

En général, les articles négatifs s’appuient sur trois idées fondamentales, qui constituent les directives tacites de ces salles de presse lorsqu’il s’agit de parler de la Chine.

La première est la conviction que la Chine est une menace pour le monde et que cette conviction doit être renforcée sans relâche à chaque occasion. La question de savoir comment et pourquoi la Chine est une menace n’est jamais abordée, tant cette conviction est profondément enracinée et presque religieuse. Les arguments solides n’ont pas d’importance. Les principes de base du bon journalisme sont ignorés lorsqu’il s’agit d’un sujet sur la Chine. Il n’est pas nécessaire d’expliquer ou de prouver pourquoi la Chine est une menace mondiale.

Les nombreuses preuves qui montrent que la Chine n’est pas une menace mondiale sont ignorées, même si l’on peut souligner des erreurs et des excès dans certains domaines. La Chine n’a envahi aucun pays depuis des décennies, ni imposé de sanctions qui ont dévasté la vie de millions de personnes dans les pays pauvres, contrairement à l’Occident, États-Unis en tête.

Deuxièmement, la Chine doit être liée à chaque événement mondial possible qui affecte l’Occident. Cela donne à l’Occident l’occasion de critiquer la Chine tout en renforçant ses propres références en tant qu’arbitre supposé de ce qui est bien ou mal dans les relations internationales. De la pandémie à la guerre Russie-Ukraine en passant par les émissions de carbone, de l’élévation du niveau des mers à la course aux terres rares, de la construction d’infrastructures en Afrique à la production de vaccins, il y a forcément un moyen de diaboliser le pays et d’inspirer la peur aux nations occidentales (et au-delà).

En effet, les médias reviennent au « péril jaune » de la fin des années 1800. Il n’existe pas d’approche subtile et nuancée pour susciter une telle peur. Il s’agit d’un racisme total et très souvent flagrant – mais il est désormais acceptable d’être raciste à l’égard des Chinois dans les médias occidentaux, malgré le fait que les relations entre Noirs et Blancs soient décrites avec beaucoup de soin.

La troisième partie de ce phénomène, qui n’est étonnamment pas contestée par les lecteurs libéraux des grands médias, est le sentiment que tout doit être fait – même les méthodes illégales et injustes – pour arrêter la montée de la Chine. Peu importe le droit de centaines de millions de Chinois à avoir une vie meilleure après un siècle de pauvreté et de privations.

Les titres qui reprennent ce sentiment ont normalisé l’opinion selon laquelle il est nécessaire de freiner l’essor de la Chine et qu’il s’agit d’un objectif géopolitique légitime. Il n’y a pas d’explication sur le pourquoi ou si c’est même moralement acceptable. Il est devenu habituel dans les commentaires occidentaux sur la Chine de dire que son essor est une préoccupation et une menace. Fort de cette hypothèse inattaquable, l’Occident a le droit de galvaniser – et même d’intimider – ses alliés et de poser la question absurde suivante : « Que faut-il faire face à la montée en puissance de la Chine ? » – comme si la Chine n’avait pas le droit de se tailler sa propre place dans le nouveau monde.

Il existe même une école de pensée aux États-Unis selon laquelle c’est l’Amérique qui a magnanimement permis à la Chine de faire ses premiers pas dans l’économie mondialisée et que, rétrospectivement, les États-Unis ont été trop gentils avec la Chine. Ce point de vue trahit tout ce qu’il y a d’impérial dans l’Occident et explique pourquoi il est incapable d’accepter le droit légitime des autres nations à se développer et à devenir des puissances à part entière. L’hypothèse est que l’essor des autres est un cadeau de l’Occident et que, par conséquent, ils ne doivent jamais contester sa suprématie. Le point de vue profondément ancré dans l’Occident depuis des siècles de domination est qu’il décidera quelles nations seront autorisées à participer à l’économie mondiale en respectant son égocentrique « ordre fondé sur des règles ».

En effet, les médias occidentaux semblent entièrement liés à la vision de la géopolitique fondée sur la concurrence hégémonique, faisant constamment référence au « piège de Thucydide » et restant figés dans les standards occidentaux comme s’il n’existait pas d’autres façons d’envisager la géopolitique et l’ordre mondial. Ce point de vue suppose que le conflit est inévitable et contribue à diaboliser la Chine tout en justifiant la position hégémonique de l’Occident – et des États-Unis en particulier – en tant que force stabilisatrice mondiale.

Inutile de dire qu’il s’agit d’une position extrêmement belliqueuse et que les médias ne devraient pas l’encourager. Qu’est-il arrivé à la promotion du multilatéralisme ? Et pourquoi les personnes qui défendent le multilatéralisme sont-elles reléguées au rang d’idéalistes ou d’apologistes de la Chine ? Cela va à l’encontre d’un reportage équitable.

Alors, comment remédier à cette situation ?

Tout d’abord, les Chinois et les non-Occidentaux doivent comprendre qu’en ce qui concerne le fonctionnement des grands médias, nous sommes dans une nouvelle ère – une guerre de propagande comme le monde n’en a jamais vu, alimentée par la technologie numérique d’aujourd’hui. La guerre des médias est réelle, elle est alimentée par la technologie, et il ne s’agit pas d’une lutte pour l’audience afin de fournir des informations justes, honnêtes et éducatives. C’est presque tout le contraire, surtout lorsqu’il s’agit de la Chine ou des ennemis de l’Occident.

D’un côté, il y a la propagande pure et simple visant à préserver la puissance occidentale. Parmi les participants figurent les marques les plus connues du monde médiatique occidental, qui sont des noms familiers dans le monde entier.

L’idée que les médias occidentaux sont dirigés par des personnes impartiales et indépendantes, animées par le seul désir de dire la vérité au pouvoir, est un mirage. C’est un mythe, et c’est une pilule amère qu’il faut avaler. L’idée que le journaliste occidental est un parangon de vertu doit également être bannie de l’esprit des consommateurs de médias.

C’est la première étape pour permettre à chacun de sortir du brouillard de propagande dans lequel nous sommes plongés quotidiennement, afin de pouvoir examiner différents points de vue au fur et à mesure de la consommation des informations. Ce n’est pas facile, étant donné la domination actuelle des médias occidentaux et leur mission apparemment collective.

L’étape suivante consiste à démanteler la domination des médias occidentaux.

Cela aussi sera un long et difficile combat. Les grands médias occidentaux sont les plus puissants du monde et, depuis près d’un siècle, ils ont la mainmise sur la diffusion des informations et des points de vue internationaux dans le monde entier. Nombre d’entre eux trouvent leur origine dans le colonialisme, la préservation de l’empire et, plus tard, la diffusion des idées occidentales sur la façon dont le monde devrait être géré. Ces médias représentent une force économique puissante et les déloger nécessitera des investissements.

Partout dans le monde, il est possible de contribuer à cet effort, pas nécessairement en créant de grandes entreprises de médias, mais en investissant dans des entreprises de médias qui s’engagent à réaliser des analyses justes et objectives, afin que les publics locaux aient le choix et ne soient pas inondés par la propagande des grands médias occidentaux. Ce ne sera pas non plus une tâche facile et il y a de nombreux obstacles à surmonter, mais ce n’est pas le moment de se noyer dans ces détails. En fin de compte, il s’agit de sensibiliser les lecteurs aux problèmes mondiaux en leur permettant de s’appuyer sur davantage de sources non occidentales, afin qu’ils ne soient pas victimes de la guerre de propagande actuelle. Cela commence à se produire au fur et à mesure que des sites d’information alternative se développent.

Il s’agit d’un besoin urgent en Occident également, afin d’empêcher l’hystérie de masse générée par les grands médias de susciter la peur et de dresser les sociétés occidentales contre le reste du monde. Aujourd’hui, la cible est la Chine, demain l’Inde et peut-être l’Afrique.

Chandran NAIR
Le 21 février 2023 – Source The Diplomat
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

 https://lesakerfrancophone.fr/la-rhetorique-anti-chinoise-est-hors-limites-dans-les-medias-occidentaux
Print Friendly and PDF

COMMENTAIRES  

08/03/2023 06:00 par Xiao Pignouf

La Chine n’a envahi aucun pays depuis des décennies

Dire cela est déjà problématique. À moins que ma mémoire flanche, quel est le dernier pays envahi par la Chine ?

08/03/2023 16:00 par Auguste Vannier

Chez Thinkerview, O.Todd propose une interprétation de ce phénomène à propos de la Russophobie dont la montée en occident est essentiellement due aux Media, à 1.28.39 il propose de qualifier cela comme une nouvelle "idéologie" dont les acteurs sont les journalistes. Il parle alors , dans un sens péjoratif de "Journalisme",

08/03/2023 22:51 par Geb.

@ Xiao...

Ben justement, j’ai beau réfléchir a ta réflexion, depuis au moins 70 ans la Chine n’a à ma connaissance envahi personne.

Mais si tu as un nom de pays "envahi", il sera le bienvenu.

08/03/2023 23:21 par Bostephbesac

Peut-être le Vietnam (réunifiée) en 1978-79, mais les Chinois n’ avaient pas pénétré profondément, l’ armée Vietnamienne l’ avait stoppé..........puis les Chinois étaient retourné chez eux.

09/03/2023 07:17 par jean duchêne

un article qui prend un soin manifeste à éviter d’écrire "capitalisme" ou "lutte des classes" et préfère parler d’Occident (avec un O majuscule) et de lutte des nations n’est pas du côté des opprimés.

09/03/2023 07:20 par jean duchêne

L’avant dernier paragraphe relève plus de l’incantation que de la stratégie politique. Les médias ne sont que les porte paroles des gouvernements capitalistes, les arguments sont fournis par le personnel politique de la bourgeoisie.

09/03/2023 10:14 par Auguste Vannier

Désolé, l’entretien avec E.Todd auquel je fais allusion dans mon commentaire précédent n’est pas sur Thinkerview, mais sur Elucid (O.Berruyer), et voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=oAUD1gxEWxE

09/03/2023 11:41 par Ilnyapasdalternative

C’et vrai, ils n’ont envahi personne, ceci dit :

Les forces chinoises entrèrent dans le nord du Viêt Nam et occupèrent plusieurs villes près de la frontière. Le 6 mars 1979, la Chine déclara que la route de Hanoï était ouverte et que sa mission punitive était désormais accomplie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_sino-vietnamienne
A+
Bisous.

09/03/2023 12:10 par bostephbesac

Un conflit armé entre le Vietnam et la Chine, du 17 février au 16 mars 1979 . Les troupes Chinoises sont rentrés en terre Vietnamiène, ont pris les principaux cols frontaliers, mais ne sont pas descendus en direction de Hanoï.............où la véritable armée Vietnamiène les attendait de pied ferme . L’ armée Chinoise s’ est retirée vers la mi-mars, "ayant atteint ses objectifs" selon elle, le Vietnan de son coté se déclarait lui aussi vainqueur, les troupes Chinoises n’ ayant pénétré au maximum que de 40 kilomètres . Guerre néanmoins meurtrière, près de 45000 morts civils et militaires de parts et d’ autres . Source Wikipédia.

09/03/2023 19:52 par Xiao pinaille

Merci de m’avoir rafraîchi la mémoire, c’est un épisode que je connais mal... Donc, la Chine a envahi le Vietnam qui avait envahi le Cambodge...

Quand même, cette tournure de phrase (bien traduite, j’ai vérifié dans l’article original) me dérange. Je ne sais pas si elle est volontaire (The Diplomat n’est pas un média toujours favorable à la Chine) ou juste maladroite...

Par exemple, admettons que je n’ai jamais bu d’alcool parce que je déteste ça, à l’exception d’une fois, il y a 20 ans, où j’ai bu un petit verre. Si on dit de moi que je n’ai bu aucun verre d’alcool depuis 20 ans, même si dans les faits, c’est vrai, ne laisse-t-on pas entendre implicitement qu’avant, je buvais régulièrement voire sans modération ?

10/03/2023 18:15 par Christophe Trontin

Coup de chapeau pour cet article qui apporte encore une fois la preuve par l’exemple que la presse libre n’est pas plus exempte de biais idéologiques que les autres ; le véritable pluralisme ne réside pas dans la multiplication des journaux possédés par une poignée de miliardaires mais bien par la traduction et l’échange d’articles venant d’autres pays et systèmes que le nôtre. Personne n’a le monopole de la vérité, chacun a un peu raison dans son coin, il faut comparer et confronter les points de vue si l’on veut sincèrement se rapprocher de la vérité. L’acharnement de la presse démocratique contre la Chine depuis des décennies a quelque chose de comique, et il avait nourri une rubrique que je tenais à l’époque à La Chine au Présent que je me remémore avec plaisir. Le premier article http://www.chinatoday.com.cn/french/Convergence/article/2016-01/08/content_710933.htm était à teneur générale, et les suivants se focalisaient à chaque fois sur un thème : les Nouvelles routes de la Soie, l’Etat de droit, Taïwan, la Mer de Chine méridionale, la Chinafrique, la COP21, etc.

11/03/2023 14:47 par CAZA

Cambodge , Chine ,Vietnam ,URSS .
Rupture Sino Soviétique : Ce serait parti de là : Wikipedia
<<<< En effet, au cours de la Seconde Guerre mondiale, Staline pressa Mao de s’allier avec Tchang Kaï-chek pour combattre le Japon. Une fois la paix revenue, les Soviétiques lui conseillèrent de ne pas tenter de renverser le régime mais de négocier plutôt avec Tchang >>>>
https://www.persee.fr/doc/rfsp_0035-2950_1982_num_32_3_411191

Le capitalisme ayant saboté le meilleur des mondes promis par le matérialisme athée
Dieu va t il être en mesure de sauver l’Humanité ?
https://media2.almanar.com.lb/videofiles/2023/March/news/reports/10-Mahdi_France.mp4

11/03/2023 16:32 par Assimbonanga

Ne serait-ce pas un peu comme si un jour une dispute conjugale se terminait par une gifle retentissante et qu’on traduise par "il battait sa femme" ? Genre remplacer "il a giflé sa femme" par "il gifle sa femme". Emoji se frotte le menton. Ciao !

13/03/2023 10:23 par Geb.

@ CAZA...

Mais le confilt sino-soviétique c’est en 1968 et les relations se dégradent APRES le décès de Staline.

J’ai plutôt l’impression à la lumière de ce qu’on sait aujourd’hui sur le complot Khroutchevien que c’est la trahison des élites de la nomenklatura qui a induit le fossé POLOITIQUE entre Mao et le Soviet suprême.

13/03/2023 14:45 par Francois Jacques

Concernant le traitement appliqué à la coronafolie, je n’exempterais pas d’empblée, pour une vague raison d’amitiés politique, idéologique ou d’expérience perso en Chine, les responsables chinois.

Ce qui s’est passé autour du laboratoire P4 de Wuhan, dirigé et financé en collaboration avec des chercheurs et des fonds étasuniens, français, allemands, ne blanchit pas les Chinois d’une participation à une grande expérience d’ingénérie sociale et mondiale en temps réel.

Trop tôt pour accuser tous les Occidentaux dans l’expérience psycho-scientifique en cours et disculper les Chinois, au moins ceux et celles enrôlés ou partie prenante dans l’expérimentation sur toute l’humanité des injections géniques ARN messager.

14/03/2023 11:16 par Sieur de la Palice

Au sujet du Coronacircus je partage avec vous une fiction qui m’apparaît si clairement devant les yeux que j’ai presque l’impression d’y avoir assisté en personne : réunion d’urgence du cabinet Trump autour d’août ou septembre 2019. Le président tape du poing sur la table : "ces Chinetoques de malheur, il faut les stopper ! Leur économie nous taille des croupières, ils nous piquent nos jobs, faites quelque chose, bordel, n’importe quoi mais quelque chose ! J’attends vos suggestions ! Et tout de suite !" Tout le monde regarde ses godasses... Donald est vraiment furax. Alors une petite voix s’élève : "Heu Mister president, dans les années 2000, le SRAS... ça avait coûté cinq ou six points de croissance à la Chine pendant plusieurs années de suite...." Tout le monde s’entre-regarde. Trump lève un sourcil : "Continuez... c’est quoi ce SRASSE ?" Explications. Enthousiasme de Trump : "Mais putain de bordel à queue, vous attendiez quoi ? Vous me concoctez un SRAS puissance dix et vous balancez ça sur Pékin, Shanghai, je sais pas moi, Hong Kong, Hanoï... Débrouillez-vous mais que d’ici trois semaines tous les Chinois soient en arrêt maladie et le monde entier interrompe les vols depuis et vers la Chine !" Et puis on décida que le mieux serait de répandre le virus à Wuhan, puisque le labo P4 serait le premier suspect... Et puis on se frotta les mains : le H1N1 avait été décevant, mais cette fois, on allait voir ce qu’on allait voir ! Le nouveau virus génétiquement enginéré était à la fois super-contagieux et assez mortel, mais avec un temps d’incubation juste bien calibré pour assurer une diffusion maximale avant que l’alerte ne soit donnée.... Et puis après quelques hésitations, vite balayées par la dilution hiérarchique des responsabilités, les orfèvres de la CIA ou autre cellule "action" firent leur boulot. Wuhan, etc etc on connaît la suite.
Maintenant on nous dit qu’une séquence ou des séquences suspectes dans l’ADN du covid19 suggèrent une intervention humaine plutôt qu’un croisement ab-so-lu-ment naturel entre deux espèces en voie de disparition, le pangolin et la chauve souris.... Non, pas possible ? Se pourrait-il que....?

(Commentaires désactivés)
 Twitter        
« Informer n'est pas une liberté pour la presse mais un devoir »
© CopyLeft : Diffusion du contenu autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
 Contact |   Faire un don