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La lettre versatile de Jimmy Gladiator n°95.

parution aléatoire
28 septembre 2004

LAN YAJOUZOU
(les Espagnols disent "No pasaran")

Extrait de la lettre "irakinfos"

Crimes islamistes contre les femmes de Mossoul (Irak)

Dans le secteur de la santé publique à Mossoul, les islamistes ont
commis plusieurs crimes misogynes, montrant une fois de plus leur
inextinguible soif de sang et leur haine des femmes. Ces sauvages ne
peuvent tolérer que des femmes travaillent à l’extérieur. Ils les
veulent couvertes du hejab et de vêtements épais, jetées à la cuisine,
servant comme des esclaves. Ils les veulent humiliées, sans opinion
sans caractère, sans vie humaine.

Les groupes islamistes exploitent le chaos, le manque de sécurité et
l’absence de loi depuis que l’occupation américaine a répandu l’horreur
terroriste à travers l’Irak. Aujourd’hui, ils vont de plus en plus loin
dans leurs actes criminels contre les femmes et contre leurs droits les
plus élémentaires.

Récemment, ces huit femmes ont été assassinées par les islamistes :
 Lina al-Aswad, médecin, qui pratiquait depuis dix ans. Tuée par balle
à al-Qayara, Mossoul.
 Hefo Abdul Safar, pharmacienne à l"hôpital d’al-Khansaa. Tuée par
balle devant sa maison, dans le quartier d’al-Noor. Sa famille est
également menacée de mort par les terroristes.
 Sanabul Nwel Tabakh, vétérinaire, tuée dans le quartier de Wahda,
alors qu’elle allait travailler.
 Layla Abdulla al-Hadj Said, professeur de droit, doyen de la faculté
de Droit de l’université de Mossoul. Tuée par balle, ainsi que son
mari. Elle a été ensuite décapitée, afin de terroriser la population du
quartier.
 Iman Adbul Monem Younis, maître de conférence à la faculté des
langues et directrice du département de traduction de l’université de
Mossoul, tuée par balle.
 Tagrid Abdul Masih, et sa soeur Hala Abdul Masih, fonctionnaires à 
Bartil.
 Tara Majeed Butros, fonctionnaire à Bartila.

Les assassinats de femmes travaillant comme interprètes, ou employées
par des compagnies étrangères, sont monnaie courante. Nombre d’entre
elles ont été tuées ces derniers mois à Bagdad et dans d’autres villes
d’Irak. Le simple faitr d’être une femme est devenu un risque mortel...

Organisation pour la liberté des femmes en Irak, 14 septembre 2004

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Solidarité contre les assassins calotins ou militaires, de tout poil et
de tout uniforme !

U.S. go home, Barbus back homme !

(et demandez à Irak Infos de vous envoyer leur lettre, pour savoir ce
que les médias vous taisent)

Bien le bisou
Jimmy

URL de cet article 1796
   
Le Joueur. Jérôme Kerviel seul contre tous
BLANRUE, Paul-Eric
Chris Laffaille, journaliste à Paris-Match, et moi venons d’écrire un livre consacré à Jérôme Kerviel : Le Joueur, Jérôme Kerviel seul contre tous (Scali, 2008). Il s’agit de la première enquête de l’intérieur sur cette incroyable gabegie, qui coûté 5 milliards d’euros à la Société générale (Socgen). Pourquoi un livre sur cette affaire ? Parce que les grands médias ne sont pas parvenus à faire leur job, et notamment à interviewer certaines personnes dont nous avons réussi à obtenir le (…)
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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