Ni juifs, ni israélites.
Petit rappel : Nicholas Murray Butler, qui a été président de la « Pilgrim’s Society » de 1928 à 1946, et l’un des « prophètes » du « British-Israël » (Le nom « British » qui est composé de « berith » ou « b’rith », alliance, et « ish », homme ou peuple, signifie « le peuple de l’Alliance »), déclara, le 19 novembre 1937, à Lord Cecil, de la « Round Table », au cours d’un déjeuner à l’hôtel Astor de New York : « Le communisme est l’instrument avec lequel on jettera par terre les gouvernements nationaux en faveur d’un gouvernement mondial, d’une police mondiale, d’une monnaie mondiale » (And Men Wept, par Catherine Palfrey, Baldwin 1954. Our Publications, New York, p. 60, cité par Pierre Virion dans Le Nouvel Ordre du Monde, p. 44.). Nicholas Murray Butler était également le Président de la Columbia University, l’université des « Morgan », les financiers américains des Rothschild.
Le système communiste en Russie était, en effet, une « expérience britannique » destinée à devenir à terme le modèle socialiste « Fabien » pour la prise de contrôle britannique du monde par le biais des Nations Unies et de l’Union Européenne.
Ajoutons à cela, les propos tenus en 1920 par Emile Joseph Dillon du Daily Telegraph de Londres, et tirés de son livre (The Inside Story of the Peace Conference, p.497), relatif au Traité de Versailles : « De nombreux délégués ont déduit que « désormais le monde sera gouverné par le peuple anglo-saxon, qui a son tour est influencé par ses éléments juifs » ». Précisons à propos de ces « éléments » que, historiquement, il n’y avait aucun Juif en Angleterre de 1290, date à laquelle le roi Edouard Ier les expulsa, jusqu’au milieu du XVIIème siècle, lorsque Cromwell, qui devait des sommes énormes à leurs banquiers, les rappela.
Cromwell se déclarera même comme « un homme appelé à faire de grandes choses en Israël », il désignera les Stuarts comme ayant « dérangé Israël pendant cinquante ans » et il parlera de l’Angleterre comme « notre Israël Britannique » notre « Sion Anglaise ». L’expression « Têtes-Rondes » (Roundheads) désignait les troupes d’Oliver Cromwell, féroces ennemis de l’Angleterre traditionnelle et de l’Eglise. Il était sans doute juif (cela explique la suite de sa politique) et financé par la Communauté juive d’Amsterdam. C’est lui qui fit traduire en justice le roi Charles Ier et veilla à sa condamnation à mort par décapitation. Sa cruauté fanatique le porta en Irlande catholique où les massacres systématiques et les persécutions de la part de ses troupes (de même ensuite en Ecosse) expliquent la haine persistante de la nation irlandaise contre tout ce qui est anglais. Cromwell mourut dans l’impopularité générale.
À propos de l’expression « Têtes-Rondes », rappelons que l’éminent ethnologue Th. Lothrop Stoddard comptait, d’après ses propres statistiques, que 82% des juifs étaient des Ashkénazes, de « race Alpine », ayant comme caractère des « têtes rondes » (Brachycéphales), étaient en réalité Turco-Mongols par le sang, et aucunement des « sémites » (leurs origines remontraient plutôt aux Khazars, un peuple qui vivait dans le Sud de la Russie et le Caucase, qui se convertirent en masse au judaïsme aux VIIIème et IXème siècles après J -C.). Dans le même temps, Th. Lothrop Stoddard établissait que les vrais Juifs, les Sefardim, ou Sépharades, qui ont le crâne allongé (Dolichocéphales), étaient de race Méditerranéenne. Ces deux types, disait-il, sont « aussi éloignés l’un de l’autre que les deux pôles ». Parallèlement, le Prof. John Beaty, auparavant Colonel dans les Services de Renseignements US établit, dans son ouvrage « Le Rideau de Fer autour des USA » (1951), que les Sionistes sont constitués par une tribu russe, appelée Khazars, étymologie d’Ashkénaze, qui sont de sang Turco-Mongol, et qui furent convertis au Judaïsme voici quelques centaines d’années, mais ne sont pas des sémites, ni des Juifs de sang Israélite. En 1948, l’année de la création de l’État d’Israël, l’écrivain C.R. Parker reprit l’idée selon laquelle il y avait deux races de juifs. Pour lui, les sionistes étaient presque tous ashkénazes. Si les séfarades étaient pieux et apolitiques, les sionistes ashkénazes utilisaient sans honte l’influence financière et politique des communautés juives européenne et américaine pour leur campagne en vue d’obtenir un État souverain. (Voir C. F. Parker, « A Short History of Esau-Edmon in Jewry »)
Dans la mesure où tout cela était avéré, on pourrait légitimement mesurer l’imposture que constituerait le soi-disant « antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion, voire quasi quotidiennement aujourd’hui, par des non-sémites.
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