17 

11-Septembre : réponse à Nathalie Bastin de l’ESISC

Yves DUCOURNEAU

Madame Bastin, Messieurs,

Votre note d’analyse du 13 décembre 2007 intitulée "Le révisionnisme post 9/11" (1) illustre bien la difficulté qu’ont les experts du terrorisme "naturel" à étudier le terrorisme "fabriqué" . On parle de terrorisme fabriqué (ou de terrorisme sous fausse bannière) lorsqu’une première équipe, qui commet véritablement l’attentat, en fait porter la responsabilité à une autre, qui n’y participe pas forcément. Typiquement, la première équipe sert les intérêts d’un gouvernement.

L’Europe, dans la seconde moitié du XXe siècle, connaît plusieurs cas d’un tel terrorisme : l’assassinat de Detlev Karsten Rohwedder en Allemagne en 1991, celui d’Aldo Moro en Italie en 1978, l’attentat de la Piazza Fontana à Milan en 1969, en Irlande du Nord, etc.

Dans le cas du 11-Septembre (je n’évoquerai désormais que ce seul cas), vous ne cachez pas votre opposition aux thèses divergentes et votre peu de considération pour la "théorie du complot" , qualifiée de « réel danger » (2). Votre note d’analyse s’organise autour de ce parti pris : elle ne tranche pas entre deux hypothèses équitablement soupesées, mais s’intéresse aux partisans de l’une des thèses après avoir posé en postulat la fausseté de cette dernière, et avoir incidemment accepté la version du gouvernement états-unien. Problème : ce faisant, vous faites l’impasse sur les failles de l’enquête du gouvernement.

"Gouvt ch. preuves…"

Vous écrivez : « La théorie du complot, elle, outrepasse la logique de la preuve, se passe de la rationalité et affirme sans rien prouver. » (3) Comme nous allons le voir, ceci s’applique parfaitement à la version du gouvernement.

Les États-Unis ont pris l’habitude, depuis 2001, d’accuser sans preuve ou bien, variante, d’accuser sans preuve puis de se rétracter. Deux guerres plus tard, on en est toujours là et il est à craindre, hélas, que le même sort attende l’Iran. Vous exigez des preuves, mais les avez-vous demandées au gouvernement ? C’est pourtant par là qu’il faut commencer. Voyons si le gouvernement a prouvé ses affirmations :

- Implication des talibans : aucune preuve. Il semble que ce soit un non-sujet.

- Implication de Saddam Hussein dans le 11-Septembre et le terrorisme en général, et armes de destruction massive irakiennes : aucune preuve et rétractation en ce qui concerne les ADM. Je range volontairement le lien supposé entre Saddam Hussein et terrorisme dans cette liste en raison de l’insistance du gouvernement états-unien à les associer, notamment dans les mois qui ont précédé l’entrée en guerre en Irak.

(Nous avons donc déjà , à ce stade, deux guerres illégales.)

- Implication de Ben Laden : aucune preuve et rétractation. C’est officiel depuis 2003 et c’est Robert Mueller, directeur du FBI, qui l’annonce : Ben Laden n’est plus suspect d’être impliqué dans les attentats du 11-Septembre ! Étonnamment, cela se sait peu. Rappelons que Ben Laden n’a jamais revendiqué les attentats et que, quand bien même, une revendication n’est pas une preuve, n’importe qui pouvant revendiquer n’importe quoi.

- Identité des pirates : preuves partielles. Le FBI admet que plusieurs identités sont douteuses, mais ne s’emploie pas à y remédier.

- Possibilité que les pirates aient commis les faits qui leur sont reprochés : preuves partielles. Nous ne savons ni comment ils ont forcé les cockpits ni comment Hani Hanjour, piètre élève pilote à qui fut refusée la location d’un Cessna, a pu piloter le vol 77 dans des conditions aussi exigeantes.

- Présence à bord des pirates : aucune preuve. Ni coupon d’embarquement ni liste de passagers authentifiée ni test ADN ni bande vidéo ne prouvent leur présence à bord. La liste de passagers est une liste reconstituée et "l’analyse" ADN, en ce qui concerne les pirates, a procédé par élimination.

- Impact des avions comme cause de l’effondrement des tours jumelles : aucune preuve. Le NIST, l’organisme scientifique auquel le gouvernement a confié le volet technique de l’enquête, a prouvé l’inverse, c’est-à -dire que les tours auraient dû rester debout, ce qui est normal vu qu’elles sont conçues pour. Le NIST a alors « ajusté les paramètres d’entrée » (selon ses termes) dans sa simulation informatique jusqu’à ce qu’elles tombent (ajustement des forces de traction sur les colonnes périphériques).

- Effondrement de la tour n° 7 du World Trade Center : aucune explication (j’y reviens).

- Présence d’un avion de type Boeing 757 dans le Pentagone : preuves insuffisantes. Ici, c’est drôle, les autorités affirment détenir les preuves, mais refusent de les montrer. Nous devons donc les croire sur parole.

- Le fait que les opérations boursières suspectes étaient ou non des délits d’initiés : aucune preuve. Pas moins drôle : les autorités affirment avec le plus grand sérieux que les passeurs d’ordre sont au-dessus de tout soupçon et, donc, qu’il n’y a pas de délits d’initiés. C’est tout simplement le monde à l’envers. Pendant que Ben Laden est accusé sans preuve, ces passeurs d’ordre états-uniens sont présentés comme innocents alors même que l’enquête conduit vers eux !

- Impossibilité pour la sécurité aérienne de stopper les avions : aucune preuve. Pour tenter d’expliquer la quadruple défaillance de la sécurité aérienne à stopper les avions détournés ce matin-là , les autorités ont fourni trois versions successives :

- celle du 11-Septembre où les chasseurs ne décollent pas ;
- celle du 18 septembre où ils décollent, mais échouent à intercepter les avions ;
- celle de 2004 (Rapport de la Commission (4)), variante de la précédente qui rejette la faute sur les contrôleurs aériens.

Les trois versions se contredisent et aucune n’est satisfaisante.

- L’absence d’avertissements préalables : aucune preuve. Au contraire, nous avons appris depuis, parce que des agents des services de renseignement parlent, que le FBI était précisément informé de l’attentat en préparation.

Résumons : nous avons donc une poignée de partisans d’Al-Qaïda, qui entrent sur le territoire états-unien (on se demande bien comment), y prennent des cours de pilotage (on se demande bien comment), ont un permis de conduire sous leur vrai nom, ont parfois des ennuis avec la police et laissent autant de traces qu’un troupeau d’éléphants (sans jamais être repérés). Ensuite ? C’EST TOUT. Ca s’arrête là puisqu’on n’a pas la preuve de leur présence dans les avions. Voilà ce qu’il y a de solide dans la théorie du gouvernement : pas grand-chose, et tout le reste n’est que spéculations de sa part. Qui était dans les avions : des membres d’Al-Qaïda ? Des Syriens ? Des Palestiniens ? Des Tchétchènes ? Ou bien y a-t-il eu détournement électronique, à distance ? Pourquoi les tours jumelles se sont-elles effondrées ?… On ne sait pas. Les preuves réunies par les enquêteurs du gouvernement ne tiendraient pas deux minutes devant un tribunal.

Mais d’un tel désastre, pas un mot dans votre note d’analyse.

Une incroyable mansuétude

Conformément à son parti pris initial, votre note d’analyse pratique le deux-poids-deux-mesures, indulgence envers les enquêteurs du gouvernement et méthode hypercritique envers les chercheurs indépendants. Les preuves du Mouvement pour la vérité ne sont pas « tangibles » et ses experts… n’en sont pas. Le Mouvement pour la vérité « [utilise] les moindres faits » ; comprendre : il détourne des détails insignifiants. Vous consacrez de longues pages à décrire les sombres ressorts qui animent ses chercheurs et ses militants : « l’attrait financier », la « paranoïa », le rejet de la réalité ou, pourquoi pas, « l’envie de gloire », « l’antisémitisme » ou « l’antisionisme ». Une seule éventualité n’est pas envisagée : que le Mouvement pour la vérité soit constitué de gens convaincus par les arguments après les avoir étudiés.

Sur les douze pages que compte votre note, seules quelques phrases, pratiquant l’euphémisme, initient un timide début de critique envers le gouvernement états-unien, lequel semble pardonné d’avance de ses manquements et erreurs. Ainsi en va-t-il du délicieux : « Le gouvernement américain n’est pas toujours avide de transparence » (2). Pas avide de transparence ? Peut-être évoquez-vous ici le refus du gouvernement, durant 440 jours, de monter une commission d’enquête alors que d’habitude, on en monte en quelques jours pour bien moins que ça. Il faut croire qu’aux États-Unis 2 749 victimes ne valent pas qu’on dérange les élus du peuple. Paniqué, le gouvernement tente aussitôt de contrôler la commission en nommant à sa tête Henry Kissinger. Mais celui-ci est démissionné deux semaines plus tard sous les huées de protestation. Chassez l’envoyé du gouvernement par la porte et il revient par la fenêtre : c’est au poste de directeur exécutif qu’il sera finalement placé, en la personne de Philip Zelikow. En tant que grand profiteur des attentats, le gouvernement n’aurait pas dû être a priori exclu du champ de l’investigation. Or, non seulement il l’a été, mais il a placé l’un de ses membres quasiment à la tête de la Commission. Qu’auraient pensé les familles de victimes si l’on avait placé à ce poste un haut dirigeant d’Al-Qaïda ?

Votre note d’analyse pratique aussi l’euphémisme lorsqu’elle évoque sobrement des « détails troublants » (5). Parmi eux il y a, j’imagine, l’effondrement mystérieux de la tour n° 7 du World Trade Center. Une tour de 47 étages qui s’effondre sans raison, des dizaines de milliers de tonnes de béton et d’acier réduits à un petit tas, est bien entendu un "détail" et les scientifiques du gouvernement sont pardonnés d’avance de leur incapacité à proposer une explication ou un début d’explication six ans après les faits. Ah, qu’il est perfide ce Mouvement pour la vérité qui utilise les « moindres faits » !

La tour 7

Arrêtons-nous un moment sur la tour 7, point le plus crucial de cette affaire. Les deux rapports officiels, celui du NIST et de la FEMA, ont de quoi intriguer. Le NIST a déjà promis quatre fois son rapport final : en 2005, en 2006, en 2007 et en 2008 (en août). Faut-il désespérer ? Fin 2007, le NIST a abandonné la piste du feu et réorienté son enquête vers les dégâts mécaniques. Autrement dit, six ans après les faits, le NIST ne sait toujours pas sur quel pied danser. Quant au rapport de la FEMA, sa conclusion mérite le détour : la FEMA dit que sa meilleure hypothèse, le feu, n’a qu’une faible probabilité de survenir. Cette fois, c’est clair : les scientifiques s’avouent complètement perdus. Pourquoi, dès lors, refusent-ils d’envisager l’hypothèse d’une démolition aux explosifs, à laquelle la chute de la tour 7 ressemble tant ? Hypothèse risquée sur le plan politique, mais si évidente sur le plan technique et appuyée par de nombreux éléments de preuve. Non, je suis en dessous de la réalité : l’effondrement de la tour 7 ressemble en tout point à une démolition contrôlée. C’est exactement une démolition contrôlée.

Depuis six ans, le NIST tente d’expliquer comment de légers dégâts sur une façade et des incendies épars ont pu provoquer l’effondrement complet d’une tour, et ce d’une façon bien particulière : par la rupture simultanée de ses 81 colonnes de soutien. L’effondrement de la tour 7 a été si propre et vertical qu’il n’a pas cassé un seul carreau sur les bâtiments de droite et gauche. A titre de comparaison, la tour Deutsche Bank, qui a subi des dommages similaires à ceux de la tour 7, est restée debout. La tour 3 et le bâtiment 6, beaucoup plus lourdement endommagés et partiellement effondrés, entièrement ravagé par un incendie pour le bâtiment 6, sont restés debout aussi. Alors, fragile la tour 7 ? Très fragile ?

La démolition contrôlée par "implosion" , c’est-à -dire verticale, est la plus difficile à réaliser. Les professionnels préfèrent, quand ils en ont la possibilité, faire tomber le bâtiment sur le côté. La particularité de l’implosion réside dans le fait que le bâtiment "rentre" bien droit dans ses fondations. Pour obtenir cet effet, les charges explosives des poteaux centraux sont déclenchées un bref instant avant les autres, de façon à aspirer vers l’intérieur. Or, c’est ce qu’on a observé sur la tour 7 et la tour Nord. On observe les poteaux centraux partir en premier grâce respectivement au point d’inflexion sur la tour 7 et à l’antenne sur la tour Nord. Si la tour 7 ne s’est pas effondrée suite à une démolition contrôlée par implosion, il faut croire que demain, tout un chacun sera capable d’un tel exploit au moyen de bidons d’essence disposés au hasard dans le bâtiment ! Combien de temps encore les scientifiques du NIST nieront-ils l’évidence ? Le temps du silence médiatique, je suppose. Vous ne contribuez pas à le rompre.

Le roi dollar

Votre note d’analyse évoque le préjugé du complot juif ou sioniste que l’on prête parfois au Mouvement pour la vérité. Ce préjugé est propagé par des personnes qui ne nous connaissent pas, ne nous ont jamais rencontrés, ne connaissent pas le sujet et qui, devant une situation inédite, font appel aux schémas connus. Ce préjugé n’a pourtant aucune logique. Personne ne met les attentats du 11-Septembre sur le dos d’Israël ou des Juifs, à l’exception d’Éric Hufschmid, que personne ne suit parce qu’il ne prouve pas ses affirmations. Le conflit israélo-palestinien n’est pas derrière le 11-Septembre et le choc des civilisations est un leurre. Les véritables enjeux sont l’économie et l’énergie. Les États-Unis, devant le risque d’hyperinflation du dollar et la menace constituée par l’imminence de la déplétion pétrolière (6), se comportent comme un employé surendetté qui braquerait une banque pour se remettre à flot. Les États-Unis, eux, font main basse sur le pétrole. Cela étant, le 11-Septembre et les "Arabes dansant" (agents du Mossad filmant et fêtant les tours en feu) furent à l’origine du démantèlement du plus grand réseau d’espions israéliens sur le sol des États-Unis et peut-être n’est-il pas inutile de s’interroger sur le rôle de ce réseau.

Conclusion

Votre note d’analyse n’entendait rien prouver ni réfuter et se contente de décliner son postulat initial, en évitant les questions gênantes. En ce sens, c’est un succès. Malheureusement, son postulat est faux et sa conclusion doit être inversée : il n’y a pas de « danger » à exiger des réponses et une enquête digne de ce nom - puisque telles sont les revendications déclarées et assumées du Mouvement pour la vérité ; en revanche il y en a à se tromper de coupable. J’attendais mieux de la part de spécialistes du terrorisme et de la géopolitique.

Je vous prie d’agréer, Mme Bastin, Messieurs, l’expression de mes sentiments distingués.

Yves Ducourneau

(membre de ReOpen911)

Notes :

(1) http://www.esisc.org/documents/pdf/...

(2) p. 12

(3) p. 1

(4) Commission d’enquête sur le 11-Septembre, dite "Kean-Hamilton" .

(5) p. 5

(6) Diminution de la production mondiale de pétrole une fois le pic pétrolier franchi (2005 2015).

Principales références : "Omissions et manipulations de la Commission d’enquête" par David R. Griffin, "Quelle est la cause réelle de l’effondrement du World Trade Center ?" par Steven E. Jones, "11-Septembre : le grand bluff ?" par Sacha Sher (historien français) et "La terreur fabriquée made in USA" par Webster G. Tarpley.

 http://www.reopen911.info/News/2008/03/13/11-septembre-reponse-a-nathalie-bastin-de-l%E2%80%99esisc/

COMMENTAIRES  

24/03/2008 12:56 par à -nos-amis

Il s’agit probablement, chez Nathalie Bastin et certains autres, des derniers feux d’une réalité conventionnelle et rassurante qui ne veut pas mourir et vous avez raison elle survivra tant que l’omission médiatique perdurera, car elles constituent une réalité unique, les deux faces d’une même médaille. Elles participent du décret (de l’exhibition) que le réel est exclusivement ceci ou cela, ce qui ne relève pas de la preuve mais de l’évidence immédiate (hallucination désespérée dans ce cas) : le réel est, sans avoir à se prouver. D’oû l’intérêt pour la propagande d’instaurer la matière (l’univers social par le canal d’un médium puissant -le télévisuel-) avant le message, la chose avant le mot.

Soyez certain que Nathalie Bastin se fiche complètement de la logique de la preuve et qu’elle n’aura vu là qu’un plaisant argument.

Andissac M.

26/03/2008 14:20 par usinagaz

On se demande même si cette dame existe. Un chercheur qui n’est pas curieux, je n’en connais pas, ou alors un chercheur d’emploi - fictif ?

27/03/2008 17:11 par à -nos-amis

Oui, difficile à prouver !

28/03/2008 16:29 par bonne chercheuse

Il y a une différence entre un bon chercheur et un mauvais, celu qui ets mauvais, est celui qui n’a aucune capacité d’analyse et qui digère tous ce qu’on lui dit. Pour tout ce qui se passe au monde actuellement, surtout 11 septembre, les deux guèrres en afganistan et en Iraq n’étaient qu’un prétexte pour aller foutre le bordel dans la région. cette histoire du 11 septembre a été organisée et manipulée par les américains eux-mêmes, aucune preuve et le monde entier a cru à cette manipulation.

et le pire arrive avec l’état qui veut dominer le monde

Bin à vous

24/03/2008 16:10 par L'ours des bois

Nous avons là deux système de pensée totalement inconciliables. L’un fondé sur le rationnel,le doute, la réflexion, l’analyse. L’autre fondé sur une croyance. La croyance qu’un complot islamiste (Al Quaida) a eu des moyens financiers, organisationnels et logistiques de perpétrer les attentats de 11 septembre, nonobstant toutes les incohérences résidant dans cette théorie officielle du complot islamiste. Le rationnel ne peut pas entamer les croyances qui fonctionnent dans le cerveau comme des tranquilisants grâce aux endorphines. Mettre en cause des croyances c’est courir le risque de s’exposer à de violents dénis se manifestant par de violentes attaques ou anathèmes. La virulence de l’énergie engagée à défendre des croyances n’a peur ni des incohérences les plus flagrantes, ni du ridicule le plus achevé. Le catholicisme et Galilé (le diable), les staliniens et opposants (complot titiste), les nazis et les opposants (complot judéo-maçonnique), etc, etc. Dans le cas d’espèce ceux qui mettent en cause la théorie officielle du complot islamiste feraient ainsi partie d’un complot antisioniste. Bon dieu mais c’est bien sûr !

25/03/2008 21:19 par jfbobi

selon le Monde Diplomatique, ceux qui doutent que des arabes aient eu les compétences pour organiser ces attentats sont des racistes...
même chez ceux qu’on pense proche les pressions financières font leur boulot en douce pour continuer la désinformation...
à la suite de cet article odieux j’ai mis fin à mon abonnement

25/03/2008 21:35 par legrandsoir

Le Monde Diplomatique ne méritait probablement pas un désabonnement pour ca... Ca reste l’un, sinon le meilleur journal en France, non ?

La Rédaction

05/04/2008 10:31 par coco_des_bois

Entièrement d’accord !
A l’image de nombreux intellectuels qui ont une grande valeur, Halimi pour ne citer que lui, et qui n’ont pas pris position, qui n’ont pas abordé le sujet, le Diplo reste une source indispensable de réflexion.
Même Acrimed n’a jamais osé s’attaquer ne serait-ce qu’au désastreux traitement médiatique du 11 septembre. Pour autant c’est une asso qu’il faut soutenir à mon sens.

11/05/2008 20:28 par victor

Franchement je trouve tout aussi absurde ce que vous prétendez. Je ne sais pas, mais il faut une dose de croyance encore plus forte à mes yeux pour souscrire aux thèses de complot interne plutôt que de complot islamiste, ne serait-ce que pour des questions d’organisation. Autrement on est obligé d’admettre que les ricains comploteurs sont des surhommes extraordinairement doués et supérieurement intelligents, capables de maîtriser de A jusqu’à Z l’ensemble du scénario et de ses conséquences. Idée que je trouve non seulement ridicule, mais en plus particulièrement valorisante pour eux, alors qu’on sait par ailleurs qu’ils se plantent régulièrement sur pas mal de sujets.
Le post de Copas du 25/03 me paraît le plus sensé parmi tous ces commentaires.

24/03/2008 23:30 par coco_des_bois

Voilà un article réellement bien écrit...

Et pour changer, il vient d’une personne qui s’engage dans le "mouvement" pour la réouverture des enquêtes.
On peut chercher toute une vie, aucun journaliste français n’a jamais écrit le quart du dixième de ceci sur le sujet. Car comme il est souligné, les journalistes qui ont effleuré le sujet sont tous partis de leur postulat de base que la vérité est un bloc de granit made in USA.

Merci le grand soir pour avoir publié cet article.

25/03/2008 10:01 par Copas

Ce que nous savons : 2 avions percutant le deux tours. Ca c’est une certitude et non un montage.

Après, savoir si ces avions ont provoqué un choc et une élévation de chaleur suffisante pour que les deux tours s’écroulent est une autre question.

J’aurai tendance à penser que c’est possible et que c’est bien cela qui c’est passé.

Les difficultés d’une enquête, les incohérences des témoignages, les divergences entre les témoins sur les faits, les durées de ceux-ci, leur perception, sont une donnée inhérente aux évènements.

Mais il demeure une question centrale : C’est bien que l’enquête soit la plus impartiale possible, en même temps que la plus exhaustive possible.

Tout n’est pas prouvable. Il se peut que même dans le meilleur des cas il y ait d’énormes zones d’ombres sur les faits et leurs enchainements. Même avec tous les moyens possibles et l’honnêteté la plus grande nous ne sachions jamais réellement la réalité rapprochée des faits. Il ne faudra pas y voir dissimulation (on ne nous dit pas tout !).

Par contre une enquête la plus droite possible, éventuellement internationale puisque ces attentats ont justifié deux guerres d’occupation toujours en cours, est une exigence importante. Et, pour l’instant, l’état américain n’aide pas à l’expression de la vérité.

25/03/2008 10:07 par legrandsoir

et puis la troisième tour s’est effondrée - probablement de chagrin.

Le Webmestre

30/03/2008 16:29 par Anonyme

C’est quoi cette histoire d’Arabe dansants " ?

On toruve çà où en frança&is SVP ?

Pourquoi il n’es tpas possible de corriger ses ereurs de frappe ?
C’est la faute à Vista ?

Merci

Jean-Marie
gobanais@nordnet.fr
02410 SAINT-GOBAIN

30/03/2008 17:39 par legrandsoir

"arabes dansants" —> le jour des attentats, la police new-yorkaise a arrêté des individus signalés comme des "arabes dansants" et qui se sont révélés êtres des agents israeliens. Ils ont été relâchés peu après. L’information a été répercutée par des médias "officiels" puis a disparu des radars. Vous en trouverez probablement une trace en cherchent sur le site http://www.reopen911.fr

(pour les corrections de textes : site web alternatif composé de bénévoles travaillant sur temps libre ch. main d’oeuvre bon marché à exploiter à outrance pour traductions, corrections en tous genres.)

05/04/2008 17:15 par à -nos-amis

"J’aurai tendance à penser que c’est possible et que c’est bien cela qui c’est passé."

Cher ami vous me faites plaisir, j’apprécie cette position modérée, pondérée, je dirais presque.. bienveillante à l’égard des autorités ! Si nous adoptions la même à propos de la Chine et de la situation au Tibet ?

Après tout, les Etats-unis n’accepteront jamais d’enquêteurs internationaux et la Chine accueille chez elle des journalistes qui en pourfendent la censure.

25/03/2008 14:30 par Anonyme

interrogez n’importe quel physicien : une cause au départ asymétrique : choc, incendie, explosion, écroulement des étages supérieurs... ne peut produire une conséquence quasiment parfaitement SYMETRIQUE comme l’écroulement des DEUX tours quasiment identique ...
à partir de là , tout est dit !je ne comprends pas comment on peut valider les thèses officielles ou alors l’intérêt et /ou la pétoche...

26/09/2009 02:29 par Anonyme

Regenhard pompier disparu le 11 septembre

Christian Regenhard un pompier de New York
photos :
http://www.variety.com/graphics/photos/reviewo/ronnativesoil.jpg

http://msnbcmedia.msn.com/j/msnbc/Sections/Newsweek/Components/Photos/060402_060408/060504_911Moussaoui_vl.widec.jpg

Christian Michael Otto Regenhard de la compagnie 131 FDNY Red Hook est né le 25 aout 1973 à Brooklyn et déclaré disparu au WTC le 11 septembre 2001.Ce jeune homme est mort courageusement en voulant sauver des vies le 9/11.

Après des études scientifiques il suit les pas de son père et entre dans l’armée.

En Août 1997 après cinq années de loyal service il déménage à San Francisco et rentre à l’unniversité.

Puis poursuivant son amour de l’escalade et de l’aventure il voyage à travers les Etats Unis mais aussi en Afrique du Sud, France et en Espagne.Pendant ses voyages il visite 22 pays à travers le monde.Puis il revint à New York pour retrouver sa famille et ses amis et pour tenter le test du Département du Feu de la ville de New York.Cela paraissait le parfait travail pour Christian, il pouvait utiliser sa tête et son amour de l’aventure et son désir d’aider les gens.

Sa famille et ses amis ne l’ont jamais vu si heureux.

Quand on lui demmandai si il aime le Departement du Feu de New York il ne pouvait se départir d’un grand sourire.Il aimait son métier.

Sally Regenhard sa mère a déclaré :

"Je pense que nous devons prêter attention à ces groupes de gens alternatifs qui continuent à faire des films et montrer leurs recherches au public.

Peut-être qu’ils ont été considérés initialement comme des marginaux ou des fous, mais finalement ce sont les seuls qui restent".

Sur le site Patriots questions 9/11 il y a près de 750 personnalités, officiers supérieurs de l’armée des Etats-Unis et agents du renseignement, hommes politiques américains et du monde entier, et même, membres de la Commission d’enquête sur le 11 septembre.

Ainsi que des témoignages qui remettent en cause la version officiel de plus de 200 survivants et proches des victimes ,plus de 250 professeurs et universitaires, 500 architectes et ingénieurs, 100 hauts fonctionnaires et politiciens, plus de 100 pilotes, plus de 100 professionels des médias.

Sans oublier des professeurs d’université, philosophes, historiens, politologues, juristes, économistes, mathématiciens, physiciens, chimistes, ingénieurs, etc.

Ceci est un appel de détresse !
Il s’adresse aux hommes et aux femmes, jeunes ou moins jeunes si vous voulez faire rien qu’un seul geste pour que les parents et proches des victimes des attentats du 11/9 puissent faire leur deuil en paix :
Faites un copier /coller de ce texte et diffusez le partout ou vous pouvez !

(Commentaires désactivés)