RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Vous aussi ? Association des cyber-journalistes - ACJ.




L’association dite : Cyber-Journalistes fondée par l’Assemblée constitutive le 24 mai 2000 à Paris, a pour but de de réunir les auteurs, écrivains, reporters et journalistes indépendants ou salariés écrivant, photographiant, dessinant, enregistrant et filmant principalement pour des sites internet ; de faire reconnaitre leur statut par les autorités pour faciliter l’exercice et le développement du témoignage citoyen et d’action sociale ; de promouvoir et de défendre les droits des témoins, de tous ceux qui osent parler ; de les informer sur les législations en vigueur ; d’organiser des forums thématiques ; d’engager toute action concourant à la réalisation de ces objectifs.

L’association se fonde sur les principes de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme, adoptée par l’ONU à Paris le 10 décembre 1948.

Tout individu ayant droit à la liberté d’opinion et d’expression, cela implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit et particulièrement ceux liés aux nouvelles technologies.

Le portail de l’ ACJ est visible http://cyber-journalistes.org, avec un regard de liberté sur les informations du monde entier, à disposition des peuples de la terre.


« Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie. Les vérités de la police sont les vérités d’aujourd’hui  »
Jacques Prévert.1974.


- Parce que le CJ, dans son rôle de citoyen-témoin est un vecteur d’une information libre, indépendante des pouvoirs économiques et politiques,

- Parce que le courage de témoigner n’est pas un engagement comme les autres,

- Parce que le témoignage n’est pas une mise en scène et parce que l’information n’est pas une marchandise,

- Parce qu’ il faut assurer la remontée et le pluralisme des témoignages,

- Parce que l’expérience montre que c’est en manipulant les informateurs que les pouvoirs manipulent l’information,

- Parce que les nouvelles technologies donnent à l’action de témoigner un caractère actif et multimédia,

- Parce que le citoyen-témoin est l’acteur essentiel de l’action sociale et culturelle indispensable à mener dans le contexte de la globalisation et du contrôle total de l’information,

- Parce que les cyber-journalistes échappent à la censure à laquelle est soumise directement et indirectement la presse et les médias en général, et que leur condition de témoins leur fait encourir des risques particuliers :

- Il faut leur reconnaître des droits qui doivent être consacrés dans un statut.

- Il faut faire reconnaître le « Droit à l’information » et son insertion dans les constitutions démocratiques, incluant la protection des sources qui exclut toute saisie de documents écrits ou audiovisuels.


Charte

L’association des cyber-journalistes est indépendante de tout groupe associatif, politique, industriel,financier, philosophique ou religieux.

Elle lutte contre les pratiques et les idéologies d’exclusion sociale, économique, financière, culturelle, raciale, xénophobe, homophobe et sexiste.

Elle est attachée aux valeurs fondatrices de l’économie solidaire : engagement volontaire et désintéressé, générosité, solidarité, partage des ressources et des connaissances, priorité à l’utilité sociale et culturelle dans le choix des actions entreprises.


Le cyber-journaliste digne de ce nom :

1)- Prend l’entière responsabilité de tout texte, image, son, vidéo, expression graphique qu’il publie sous sa signature ou sous un pseudonyme.

2)- Garanti le droit de réponse à toute personne qu’il mettrait en cause ou qui pourrait se reconnaître dans ses témoignages, et s’engage à rectifier les informations qui pourraient s’avèrer inexactes.

3)- Tiens la calomnie, la diffamation, le faux-document pour les plus graves fautes professionnelles.

4)- Il ne reconnaît que la juridiction de ses pairs, de son public, de ses lecteurs en matière d’honneur professionnel.

5)- Il ne s’interdit pas d’invoquer un titre imaginaire pour obtenir témoignages et informations. Il utilisera, dans le cadre de la loi, les moyens qui lui seront nécessaires pour les rechercher, les montrer ou les démontrer, les produire et les diffuser.

6)- Il commet des plagiats si ça l’amuse, mais il le dit. De la même manière il annonce clairement le genre de son intervention : Témoignage/information - Commentaire - Fiction - Pamphlet ...

7)- Il travaille dans l’esprit de l’internet solidaire et non marchand et du copy-left.

8)- Il gagne sa vie comme bon lui semble.

9)- Il protège la confidentialité de ses sources.

10)- Il use de la liberté de la presse et de l’information dans l’intention intéressée de réhabiliter le témoignage, et revendique la liberté de publier ses informations en utilisant tous les recours des technologies nouvelles.

11)- Il ne confond pas son rôle avec celui du journaliste, du policier ou du juge.

12)- Il refuse l’ordre moral en vigueur défini par nos gouvernants, politiques, militaires, religieux et journalistes.

13)- Adieu l’info produit. Bonjour l’info témoin


Alors, vous aussi ? http://cyber-journalistes.org



URL de cet article 3098
   
La Stratégie du Choc
Naomi KLEIN
Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’état de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnösc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri-Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux - Abou Ghraib ou (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Si j’étais un milliardaire ou un agent du renseignement, je voudrais probablement perturber la gauche au point de faire croire que quelqu’un de "gauche" est celui qui ne conteste jamais l’impérialisme US, ou qui soutient activement l’impérialisme US pour "contrebalancer les oligarques étrangers".

Primo Radical

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.