Avec le refus de la sélection argentine de jouer une rencontre amicale de football sur les tombes palestiniennes de Jérusalem, l'équipe dirigée par Jorge Sampaoli a déjà gagné le Mundial. Le mundial de la conscience et de la dignité.
Fleur d'un jour parmi les médias alignés sur le récit sioniste, la nouvelle résonna dans les rangs des supporters de la planète. Cependant, après avoir été surpris hors-jeu, le perdant a choisi de lancer une contre-attaque pathétique, laissant en évidence son hypocrisie et - sa perversité.
L'attaquant Gonzalo Higuaín, a dit cinq mots : "Lo correcto era no ir" (La correction était de ne pas y aller). Cela ne pouvait pas être autrement . Parce que pour le 70ième anniversaire de la Nakba (génocide du peuple palestinien), son équipe a senti que jouer à Jérusalem était une manière de légitimer la criminelle judaïsation de la Ville sainte.
A Buenos Aires, l'ambassadeur de Tel Aviv, Ilan Sztulman, a commenté la décision historique avec cinq autres mots (…)Lire la suite »
En décembre 2006, le mafieux cubano-étatsunien Adolfo Franco, directeur pour l'Amérique latine de USAID (Agence Internationale pour le Développement), affirma que le gouvernement de Washington ne travaillerait directement avec celui de Haïti "jusqu'à ce que soit résolu le blocage politique du pays" .
Intéressé à connaître le type d'aide d'USAID, le journaliste Tom Reeves (de la prestigieuse publication Counterpunch) voyagea à l'île antillaise et s'entretint à Jacmel avec Pierre Gestion, dirigeant du Mouvement Haitien pour le Développement Rural, un des acteurs qui renversèrent le président Jean Bertrand Aristide en février 2004.
Se vantant de sa connexion avec le Département d'Etat et avec Refuerzo de la Democracia, programme de l'USAID, Gestion déclara au journaliste : "...ils nous entraînèrent et nous enseignèrent comment nous organiser, et nous avons organisé les groupes pour exiger que soit renversé le gouvernement corrompu d'Aristide".
Confirmant diverses (…)Lire la suite »
12 ans après le début de la Révolution Bolivarienne, donnons quelques chiffres qui nous renseignent sur l’angoissante orientation que celle-ci a prise. Précision importante : les données qui suivent ne sont pas révélations de Wikileaks.
Économie et finances publiques
1. Le pays a rompu avec le Fonds Monétaire International.
2. Les réserves en devises internationales ont augmenté.
3. La dette publique a diminué ; elle est passée de 47,5 à 25 points (2003-2006).
4. Suppression de la taxe de « débit bancaire » sur toutes les transactions financières effectuées par les banques.
5. Création de trois grandes banques : Banque du Trésor, Banque du Développement, Banque du Sud.
Pétrole
6. L'industrie pétrolière a repris sa croissance. Redynamisation de l'OPEP comme organisation qui défend les prix du pétrole et création de PETROSUR
7. Libération de la Compagnie Publique, Petróleos de Venezuela, (PDVSA), de la Bourse des Valeurs (SEC) (Securities and Exchange Commission) des États-Unis après paiement de la dette correspondante (26 milliards de dollars).
8. Augmentation des réserves pétrolières estimées avec la récupération de la ceinture pétrolifère de l'Orénoquef
Agriculture et production
9. (…)Lire la suite »