En ce qui concerne la dernière mise en scène contre le Venezuela et l’Équateur, le Secrétaire Général de l’OEA a dit : « Je suis très respectueux envers Interpol, mais le rapport édité a été une opinion technique sans référence à la démonstration ni au contenu des documents trouvés…Il n’y a pas de preuve sur les documents » (1). Il paraît donc que le représentant de l’ancien Ministère des Indes états-unien méprise l’embrouillamini monté par Washington et ses subordonnés narcoterroristes de Bogotá. Quelque chose de fondamental a changé en Amérique Latine. C’est un signal qui indique autant un changement profond et historique qu’une modification conjoncturelle.