Si les (contre-)performances sportives ou le niveau sonore des désormais célèbres « vuvuzela » ont donné lieu à de nombreux commentaires, le bilan social et politique de la dernière coupe du monde de football reste largement à faire. Cet événement constitue-il réellement ce « catalyseur de progrès dans le pays » évoqué sur le site internet de la FIFA ? Au-delà de la rhétorique convenue sur ce « langage universel qu’est le football », « seul sport qui rassemble toutes les cultures », la grande messe cathodique a-t-elle profité aux Sud-Africains ? Et si oui, auxquels ?