La démission de Gary Conille comme premier ministre n’efface en rien la crise de gouvernance de notre pays aux nom et prénom Haïti Toma. Elle marque sans doute une étape importante dans le drame d’un peuple dont les filles et les fils croient pouvoir, à chaque génération, réinventer l’espérance sombre de leur avenir avec la même pâte de ses échecs d’hier. Des générations qui pensent recoudre le tissu social déchiré avec les fils de fer de l’absolutisme. Débilité ! Suicide !