Le Premier ministre l’avait annoncé en octobre dernier : dès janvier 2017, la conduite des voitures banalisées avec radar embarqué devrait être confiée à un prestataire privé. Une externalisation loin de faire l’unanimité : privatisation de la justice, course à la contravention, maigre contribution à la sécurité sur les routes, les doléances s’accumulent contre ce projet.