Ce ne sont pas les grévistes qui, par plaisir, font grève ; ce sont les agressions libérales, en rendant les métiers et les vies impossibles, qui déclenchent les grèves. Les grèves ne paralysent pas, au contraire elles débloquent des situations intenables. Les grèves ne sont pas violences, au contraire elles empêchent les surcroîts de violences qu’imposent aux salariés ces dirigeants d’entreprise qui peuplent les ministères, avant de repartir vers les directions d’entreprise ou de banque.