En « Cartoonia » étasunienne, après Ben Laden il est urgent et essentiel de trouver un autre ennemi pour Captain America .
Que regardait Barack Obama à la télé la nuit de l’attaque des Seals ? Le match des Dallas Cowboys au Superbowl ?
Dans le Golfe du Mexique, la plus grande catastrophe environnementale de l’histoire, des millions de travailleurs vers un chômage sine die, pour les pétroliers code éthique a la place de code pénal.
L’ « extranéité » d’Obama, l’ « effet Bradley », synonymes de racisme, et les fraudes électorales sont les lourdes inconnues qui pèsent sur la victoire attribuée par les sondages au candidat afro-américain. Seule la catastrophe économique des bushevics avec les banksters pourront contrebalancer ces inconnues et démentir la néfaste hypothèse d’une présidence McCain
« The dark side », « « Le versant obscur », de Jane Mayer, publié le mois dernier aux Usa, rapporte les violations des droits de l’homme et du droit international, l’abrogation du « Bill of rights » et des garanties constitutionnelles perpétrées par l’administration Bush après le 11 septembre, sous l’égide de la lutte contre le terrorisme. Le titre rappelle la réflexion menaçante du vice président Cheney juste après l’attentat contre les Tours Jumelles : « Maintenant l’Amérique va devoir entrer dans le versant obscur de son histoire ».
Analyse d’un observateur averti de la politique étasunienne : l’"annonce d’une apocalypse éminente a été donnée par le périodique de droite The American Conservative " : "une réunion du Conseil de la Sécurité Nationale (qui) a approuvé les plans d’attaque par missiles Cruise contre une base Al Qods (la Garde Révolutionnaire Iranienne) où seraient entraînés les militants irakiens engagés dans la guérilla contre les troupes d’occupation"