Après six mois d’échecs, le système politique grec, mais Syriza aussi en ne respectant pas ses promesses, ont maintenu la Grèce dans la même impasse. Une certaine opacité, voulue par le gouvernement, entoure les « négociations » : il pense que de cette manière la réalité ne transparaîtra pas. Il fait erreur, car les raisons de ces nouvelles « négociations fermes », en cours depuis sept mois par ailleurs, sont claires.