En prenant le prétexte de la visite de Mme Pelosi à Taïwan pour rompre le dialogue sur un certain nombre de sujets avec les États-Unis, la Chine se libère du carcan de mensonges climatiques dans lequel elle s’était laissé enfermer pour complaire à l’Oncle Sam et ses servants occidentaux dans leur nouvelle religion écologique. Jusqu’ici, la Chine a avancé masquée, faisant semblant de croire à toutes les balivernes climatiques, allant même parfois jusqu’à en faire un peu trop pour montrer sa détermination à contribuer au sauvetage de la planète, mais il semble que, désormais, les choses vont changer. Les Etats-Unis ne s’y sont pas trompés : la rupture du dialogue climatique qui, à première vue, semble si anecdotique, est une véritable catastrophe qui pourrait ébranler, ou même démolir toute l’architecture économico-politique que les occidentaux ont mis plus de 20 ans à construire. RI