L’Empire prédateur, ses supplétifs-"caniches" de France, de Navarre et du Qatar, s’apprêtent à barbariser la Syrie, nation, peuple, société, déjà soumise depuis des mois à la terreur salafiste et à toute la canaille féodale de la région. Permettez de vous transmettre,- ou retransmettre- le texte de l’écrivaine syrienne Nadia Khost paru il y a 18 mois, sous le titre : Le terrorisme au nom de la démocratie
Texte de courage et de dignité, dans ce climat d’hystérie guerrière toute de lâcheté, initié par les chefs d’États du colonialisme déchu, et amplifié par la valetaille des va-t-en-guerre médiatiques adeptes du panurgisme et militants organiques de l’Officine des basses besognes, Reporters sans Frontières, longtemps dirigée par un raciste, aujourd’hui candidat de l’extrême droite. (Voir livre de M. Vivas) - Smaïl H.A
Il y a un an seulement, les Syriens vivaient en sécurité. Ils ignoraient tout des armements qu’ils découvrent chaque fois que l’armée les saisit dans les cachettes des milices ou lorsqu’elles entrent depuis la Turquie ou le Liban. Ils n’avaient jamais vu les obus, les fusils et mitrailleuses de toutes sortes, les bombes assourdissantes, les obus anti-char, les revolvers, les appareils d’espionnage, les lunettes de vision nocturne, les charges explosives, les gilets pare-balles.
L’intellectuelle Nadia Khost, figure très respectée et estimée en Syrie, est l’auteur de ce texte dense, brillant, porté par le souffle de son indignation vis-à -vis de ceux qui s’emploient aujourd’hui à détruire son pays et son indépendance.- Silvia Cattori