Rafah était la dernière zone de la bande de Gaza qui n’avait pas encore été détruite par l’entité sioniste. De nombreux pays l’ont appelée à ne pas attaquer Rafah – en vain. Parce qu’elle ne tient compte de personne ni de rien, ne respecte personne ni rien et est au-dessus de tout et de tout le monde. C’est une chose en soi. Une aberration.
Ce qui a commencé comme un avant-poste colonial occidental proliférant par calcul, s’est métastasé en une machine à tuer... qui est même en train d’accélérer sa propre disparition (bien que pas assez vite). Comme l’a dit Norman Finkelstein dans cette interview extraordinaire : « ‘Israël’ a maintenant atteint un endroit insensé où la survie, non seulement des régions, mais de la planète, est en jeu. »
La grande et nue question * qui restera dans les livres d’histoire (si l’humanité survit aux plans de l’entité sioniste) est : pourquoi le reste du monde a-t-il été incapable d’arrêter le génocide ?
On peut d’ores et déjà exclure « l’Occident (…)Lire la suite »