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Auteur : Hervé HILLARD

Les richesses de la Grèce attisent la convoitise des marchés

Hervé HILLARD

A l’heure où la monnaie fabriquée par les banques ne vaut plus rien, seules les ressources naturelles auront toujours plus de poids à l’avenir. Spécialement l’or.
Or, la Grèce regorge d’or, de gaz et de pétrole !

Grâce la compilation d’articles ci-dessous, on a une idée plus claire des ressources cachées de ce pays décrit à l’envi comme pauvre et en faillite. Rien n’est plus faux. La mise sous tutelle et la privatisation de ce pays ne peuvent qu’asseoir encore plus le pouvoir de la haute finance !

La Grèce a les ressources naturelles pour devenir le premier producteur d’or européen. Ce qui excite les convoitises de sociétés étrangères. 498 kilos d’or. Telle était la production annuelle en Grèce en 2011. Ce chiffre pourrait théoriquement dépasser les 13 tonnes – soit 26 fois plus –, plaçant ainsi le pays au premier rang des producteurs européens, devant la Finlande, actuel 40e au rang mondial. Car le sous-sol de la Grèce est riche : le pays est déjà le premier en Europe pour la bauxite, minerai qui entre dans la fabrication de l’aluminium, et de perlite, sable siliceux utilisé en agriculture et en horticulture. 250 tonnes d’or rien qu’en Chalcidique Dans un pays où le taux de chômage frôle les 26% – il a pratiquement triplé depuis le début de la crise économique en 2008 -, et qui aligne six années consécutives de récession économique, ces ressources naturelles sont une bonne nouvelle. Du moins en théorie. En Grèce, le taux de chômage frôle les 26% – il a (…) Lire la suite »