Depuis quelques années, c’est devenu la mode de parler de la « dissidence cubaine » et d’appeler « dissident » quiconque qui, pour un salaire payé depuis l’étranger, un visa de sortie du pays, quelques cadeaux ou tout autre avantage matériel, a décidé de trahir son propre peuple, en se mettant au service de l’ennemi de toujours de notre nation. Il semblerait que ce sont eux qui écrivent l’Histoire de Cuba.