Jean Ortiz cite approximativement cette phrase de Paul Éluard : « ... un cœur n'est juste que s'il bat au rythme des autres cœurs... » * J'ai eu la curiosité d'aller la rechercher dans le texte « Ce que l'Amérique doit entendre ». Ce qui me permet d'extraire quelques passages de cette intervention à New-York, qui fut publiée dans « Les Lettres françaises » en 1949, parce qu'ils ne sont pas sans rapport avec ce qu'écrit Jean Ortiz. Mauris Dwaabala