Nelson Mandela n’est plus, mais l’injustice est toujours aussi répandue. Source d’inspiration pour les gens de bonne volonté, le grand homme aura gagné une bataille importante, mais son combat est loin d’être achevé. La rapacité ronge l’humanité. Nous pouvons compter sur les valets médiatiques de l’oligarchie pour ne pas nous l’expliquer.
Nelson Mandela n’est plus, mais l’injustice est toujours aussi répandue. Source d’inspiration pour les gens de bonne volonté, le grand homme aura gagné une bataille importante, mais son combat est loin d’être achevé. La rapacité ronge l’humanité. Nous pouvons compter sur les valets médiatiques de l’oligarchie pour ne pas nous l’expliquer.
Au rayon des crimes contre l’humanité, le Québec avait le faux héros Roméo Dallaire, marionnette de Bill Clinton chargée de laisser la voie libre à Paul Kagame et à ses conseillers militaires étasuniens, architectes du bain de sang qui commença le 1er octobre 1990 et qui se poursuit encore, 21 ans plus tard, au Rwanda et en République démocratique du Congo. Mais aujourd’hui, le Québec a son premier vrai grand criminel de guerre, le lieutenant-général Charles Bouchard, bourreau des Libyens.