Au moment où j'écris ces mots, un véritable carnage est perpétré contre le peuple palestinien. Nous sommes témoins d'une atrocité d'une cruauté inimaginable. J'ai dû prendre du recul face à cette horreur, qui a suscité un profond malaise en moi. Ce pamphlet est ma façon de surmonter ce malaise en le partageant avec mes lecteurs. Malheureusement, le génocide en Palestine n'est pas un cas isolé dans l'histoire. Toutes ces tragédies trouvent leur origine dans une même source : la quête de domination des forces capitalistes. Washington et Tel Aviv s'allient, formant ainsi un cartel parmi tant d'autres, dans le but de maintenir leur emprise sur un monde en constante évolution. Comprendre la situation en Palestine nécessite donc de saisir les enjeux à l'échelle internationale. Pour saisir la situation en Palestine, il est essentiel de comprendre l'impérialisme, qui représente le stade ultime de domination des forces capitalistes. En effet, les forces impérialistes menacent les peuples avec le spectre du génocide, comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leurs têtes et prête à s'abattre à certains moments cruciaux de l'histoire. Il y a eu de nombreux génocides et massacres à travers l'histoire, tous ayant une cause commune. L'essence même du capitalisme est marquée par la violence, la barbarie et les massacres. Il est crucial de souligner que la classe dominante est universelle : la bourgeoisie en est un exemple frappant. L'analyse de ces événements doit se faire en tenant compte de la lutte des classes. Voici quelques exemples illustrant cette réalité. Ce texte est un pamphlet pour vous…
Les médias occidentaux affirment que le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine aurait débuté aux environs du 24 février 2022. En réalité, la guerre ne cesse jamais dans le cadre de l’impérialisme. Les différents pays impérialistes sont interdépendants, mais ils sont aussi en concurrence. La guerre militaire est le degré supérieur d’une guerre qui commence toujours au niveau de l’économie et des idées. Les médias ont créé un clivage presque idiot qui consisterait à dire que les « méchants » sont à l’Est, alors que les « gentils » sont à l’Ouest. Malheureusement, la géopolitique est plus complexe que cela. La guerre n’a jamais cessé après la chute de l’URSS et elle n’a fait qu’atteindre un degré supérieur avec le coup d’État néonazi d’Europe-Maïdan.
Certains préfèrent Danton, mais d’autres préfèrent Robespierre. Ils furent les stentors de la grande Révolution française de 1789. Ils n’étaient pas seuls évidemment. En réalité, la révolution n’a pas commencé en 1789. Elle a commencé dans les esprits bien avant 1789. Nous devons discuter, débattre des origines de notre révolution française. Discuter, débattre aussi des personnages clefs de cette révolution. Danton et Robespierre en sont clairement les deux piliers. Il nous faut revenir à leurs enfances, leurs études, leurs vies simplement. Une révolution n’est pas uniquement sociale, elle est aussi cérébrale. La révolution de 1789 n’échappe pas à cette règle universelle. Je m’excuse d’avance auprès des lecteurs pour la longueur de mon texte, mais il m’aurait été difficile de faire plus court.
Dans quelques mois nous changerons de Président. Est-il possible qu’un seul homme puisse représenter la somme totale des subjectivités de la nation ? Est-il sain qu’une seule personne puisse décider pour tout un peuple ? Ce qui est certain, c’est que, quelle que soit sa « famille politique », le postulant à l’élection présidentielle ne sera pas candidat pour rien. Il a été choisi par des forces qui savent ce qu’est l’Homme à l’état de nature. Il lui faudra conjuguer sa visée économique, sociale, politique avec ce que représente l’Homme dans son essence.
Le militant anti-vaccin Pfizer Jean-Bernard Fourtillan a été interné dans l’hôpital psychiatrique d’Uzès (Gard) le 10 décembre 2020. Il avait été vu dans l’excellent documentaire “Hold-Up”. Cet internement a été effectué dans un silence assourdissant. Presque aucun média n’a mentionné cet internement. Le gouvernement veut-il cacher aux Français le véritable objectif du vaccin Pfizer ? Au point d’arrêter toutes les personnes qui s’y opposeraient ? Et, pourtant, la médecine psychiatrique a longtemps servi pour enfermer les différentes formes d’opposition dérangeantes. Cet article a été écrit sur la base du Étouffer la révolte du psychiatre Jonathan M. Metzl. Le professeur y dénonce les agissements de la médecine psychiatrique utilisée par les gouvernements de l’époque pour enfermer des « personnes schizophrènes ». C’est ainsi que furent enfermées des femmes qui s’opposaient à leur mari ou des hommes noirs qui, lors du mouvement des droits civiques, militaient pour leurs libertés. Ces « femmes » ou ces « nègres » étaient taxés de malades mentaux parce qu’ils avaient osé se rebeller contre leur « maître ». Evidemment, des livres institutionnels comme le DSM s’affirmaient comme une construction sémantique savamment orchestrée par les institutions de l’époque. Cet article pose des questions. Son objectif est d’enrichir les débats, les discussions, de poser encore d’autres questions. Si les forces du capital ont utilisé la médecine pour « étouffer la révolte » ou « mater le peuple » pourquoi ne le feraient-elles pas aujourd’hui sous couvert de la Covid-19 ?
Karl Marx affirmait : « Le capital abhorre l’absence de profit ou un profit minime, comme la nature a horreur du vide. Que le profit soit convenable, et le capital devient dangereux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre, même au risque de la potence. Quand le désordre et la discorde portent profit, il les encourage tous deux ; pour preuve la contrebande et la traite des nègres » (Le Capital tome 3). Alors pourquoi les forces du capital ne prendraient-elles pas le contrôle de nos existences via le confinement, les règles sanitaires sous couvert de la Covid-19 ? Pourquoi elle le ferait ? Eh bien…
Étymologiquement, le mot "zombie" est un dérivé de "zonbi" en créole haïtien ; "nzumbe" ou "nzambe" en kimbundu/kikongo. Le zombi serait une personne ayant perdu toute forme de conscience, d'humanité, et au comportement violent envers les êtres humains. "L'Homme civilisé" a été transformé en zombie par la force des "exigences civilisationnelles". Cette transformation se caractérise par un degré d'acceptation de la violence obscène de la dictature du capital. Lorsque notre frère est mutilé, matraqué, tué par une violence policière et que nous réagissons passivement, pouvons-nous nous revendiquer encore comme des "Hommes" ? Lorsque des enfants meurent de la famine, de la barbarie des guerres impérialistes et que nous laissons faire, sommes-nous encore des "Hommes" ? Lorsque nous acceptons des "règles sanitaires" (sous prétexte du Covid-19 évidemment) permettant à la dictature du capital de renforcer sa dictature de classe et les restrictions de nos libertés, sommes-nous encore des "Hommes" ? Quels-sont les éléments de transformations de l'Homme en zombie ? Quelles sont les caractéristiques du zombie ? La psychanalyse de Freud ou le marxisme ont apporté des prémisses de réponse à ces questions. lls ont démontré que l'Homme ne pense pas par lui-même, qu'il n'utilise pas son "propre entendement", noyé qu'il est dans des « préjugés pétrifiés ». Un état social de l'Homme trouverait donc sa cause dans les "exigences civilisationnelles" transformant l'Homme en zombie. La première partie de l'article concernera les outils de transformation de l'Homme en zombie ; la deuxième partie, les caractéristiques du zombie ; la troisième partie, les exemples concret (les répressions policières et le Covid-19) confirmant ainsi que l'Homme s'est transformé en zombie.
La question de la nationalisation s’est imposée eu égard aux circonstances. En effet, la crise du COVID-19 a démontré l’incapacité du capitalisme à protéger le peuple, mais aussi sa fragilité, son obsolescence. Nationaliser nos moyens et instruments de production changerait-il quelque chose à l’affaire ? Pourquoi ne pas collectiviser les moyens et instruments de production et non pas les nationaliser puisque l’État représente une minorité dominante, exploiteuse d’une majorité exploitée. Dans cet article, nous allons essayer de différencier la nationalisation de la collectivisation et leurs conséquences. Pour comprendre cette question nous ferons un passage via 1917 en Russie. Ensuite, nous reviendrons dans la France du passé et actuelle. La crise du COVID-19 a démontré que la propriété privée des moyens et instruments de production est un obstacle qui doit être balayé immédiatement. Mais la nationalisation dans un État tel que nous le connaissons ne changera rien à nos existences. Pourquoi ?
Le coronavirus existe, il tue, il décime, il supprime : affirmant ainsi que l’Homme est une quantité négligeable perdue dans l’univers. Mais ce gouvernement utilise ce virus comme un paravent pour voiler la réalité du mode de production capitaliste. Les krachs boursiers, le déploiement des forces de répression n’ont pas pour cause unique le virus ! Faux ! Leur source trouve son origine dans la nécessité de domination et d’oppression de ce gouvernement. Cette nécessité est intrinsèque au capital et identique dans tous les pays capitalistes. Les conditions objectives semblent désormais réunies pour une révolution : mais les révolutionnaires ne sont pas encore prêts ! Alors qu’un virus nous décime, le capital utilise celui-ci pour abattre ses cartes ; les circonstances imposent aux révolutionnaires de cesser leurs divisions : la vie édicte son ultimatum…
L’Australie a subi une catastrophe sans précédent en raison d’incendies dévastateurs. 500 millions d’animaux auraient été tués par les feux, 24 personnes sont mortes, des milliers d’autres ayant dû fuir leur habitation ont été poussées sur les routes, 5,9 millions d’hectares ont été détruits soit plus de deux fois la Belgique. Les causes n’en sont pas uniquement climatiques même si, de toute façon, le climat lui-même est déréglé en raison d’un productivisme humain poussé à son paroxysme. Malheureusement, cette catastrophe en Australie est révélatrice d’un problème qui a atteint un niveau de gravité sans précédent. Elle reflète cette réalité que l’unité de l’homme et de la nature s’est effondrée sur l’autel du profit capitaliste. Dans cet article, nous reviendrons sur la destruction de notre planète dont la cause est un mode de production qui démontre tous les jours son incapacité, son obsolescence et les désastres qui lui sont inhérents.