Contrairement à la croyance populaire, le commerce le plus sanglant de l’Histoire, qui vit des organes prélevés sur des Serbes du Kosovo capturés et emprisonnés, trouve ses sources ailleurs. Comme l’indiquent les médias serbes, dans le cadre du processus mené par la mission EULEX au Kosovo, « l’un des accusés a reconnu avoir participé à un trafic d’organes humains ».