Candidat du Mouvement vers le socialisme (MAS) à l’élection présidentielle du 18 octobre en Bolivie, l’ancien ministre de l’Économie dénonce le climat de tension et de violence entretenu par la droite et l’extrême droite tout au long de la campagne. Ses priorités en cas de victoire : la santé, l’éducation, l’emploi et la restauration des politiques sociales conduites sous les mandats d’Evo Morales, évincé de la présidence par un coup d’État en novembre 2019. Entretien réalisé par Rosa Moussaoui, envoyée spéciale.