Cet excellent article, très documenté, a déjà été publié sur notre site (4 février 2021). Il nous semble utile, voire urgent, de vous le redonner à lire et de vous proposer de le faire lire autour de vous.
Glucksmann, aventurier de la politique, naguère acoquiné avec un dictateur (dont il épousa la terrible ministre de l’Intérieur en exercice) pourrait bien être, par la grâce du PS, un futur chef de file d’une gauche désunie aux élections européennes, prélude au maintien de la droite au palais de l’Elysée en 2027, voire (avec la complicité d’autres organisations de gauche) de son envahissement par des hordes fascistes conduites par la présidente Marine Le Pen.
LGS
Lorsque l’on entame quelques recherches il est facile de constater que la plupart des articles qui apparaissent tresse des louanges au député européen de 41 ans, symbole de la nouvelle gauche libérale post PS.
Il suffit aujourd’hui simplement de s’interroger sur un sujet ou les médias -dans leur majorité- ont un parti pris pour tomber dans le viseur des cerveaux bien-pensants. Le cas de la guerre actuelle en Syrie en est un exemple parmi tant d’autres.
Le président bolivien Evo Morales a envoyé le mardi 16 novembre au congrès, son projet de nouvelle loi sur les retraites, élaboré et approuvé avec les syndicats et a déclaré que celle-ci serait certainement adoptée par le sénat au cours des prochaines semaines.
Parallèlement aux mesures déjà acquises (comme l’abaissement de l’âge légal de départ en retraite de 65 à 58 ans) Evo Morales a annoncé mardi la nationalisation des caisses de retraites privées du pays.
Actuellement le versement des retraites est administré par deux grands groupes financiers étrangers, à savoir la banque espagnole Bilbao Vizcaya Argentaria SA (BBVA) et le groupe suisse Futuro de Zurich Financial Services SA (ZFS).