En 2017, une équipe de scientifiques de l’Université d’Alberta crée de toutes pièces (par simple assemblage de petites séquences de gènes achetées sur internet) le virus de la variole équine, prouvant que des groupes dotés de peu de moyens pourraient créer aussi facilement le virus de la variole humaine, qui n’en diffère que par quelques bases (et qui est beaucoup plus dangereux que la variole du singe).