Les passeurs sont des salauds, c’est entendu. Profiter que des hommes, des femmes et des enfants ont le désir ardent de fuir – au risque assumé de leur vie – la misère, la répression ou la guerre est une infamie sans nom. Il faut la condamner sans réserves évidemment et n’avoir aucune indulgence envers ses auteurs.