Les romans d'aujourd'hui, représentés par la divine Christine Angot, quand ce n'est pas Mazarine Pingeot, m'assomment. La question est la suivante : comment peut-on couper des forêts pour imprimer des trucs pareils. Il y a parfois un sursaut, une bouée qui flotte sur la mer. C'est le sentiment que m'a donné la lecture du roman que Rothé vient de publier au Seuil Avec un autre homme j’aurais eu peur de m’ennuyer.