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Thème : Madame de Pompadour

La finance internationale à l’école de la marquise de Pompadour ?

Michel J. CUNY

La Pompadour... mais oui, cette si délicieuse femme au milieu de quelques mares de sang. C'est d'ailleurs ce qui fait l'essentiel de son charme... pour quiconque – en France particulièrement – réunit ses intérêts à ceux de la finance internationale (de source étasunienne, britannique, qatarienne, saoudienne, franco-française, etc...) et au goût prononcé de celle-ci (car nécessaire à sa domination) pour les guerres bien massacrantes.

On ne m'en voudra pas d'aller très vite à cette proposition que je livre, dans toute sa brutalité, à l'attention d'autant de personnes qu'il est possible : manifestement, les deux derniers présidents de la République française (Sarkozy, Hollande) sont, d'abord et avant tout, des chiens d'attaque de l'appareil militaro-industriel (français ? européen ? otanusien ?...). Ce qui nous ramène immédiatement à la marquise et à son basset de cour : l'inénarrable Voltaire. On nous raconte (hein, l'Education nationale !...) qu'elle a été une bénédiction pour les artistes, tandis que Voltaire l'était pour les intellectuels et autres petits rusés de la "liberté de pensée"... Non, tout cela n'est que du pipeau... Le basset, et la pourvoyeuse de Louis XV en petites jeunes filles, n'étaient que les créatures des frères Pâris. On dirait aujourd'hui de Goldman Sachs, ou de l'émir du Qatar. Donc, ça va saigner !... Si la Pompadour n'a été d'abord que fille d'un dénommé Poisson, elle avait (…) Lire la suite »