À l’image de la « Nueve », célébrée ce soir à Paris, le rôle des combattants républicains d’Espagne a peu à peu réintégré le récit national.
Lorsque Luis Royo-Ibanez entre dans Paris, le 24 août 1944, à bord de son half-track baptisé « Madrid », il laisse éclater sa joie devant l’Hôtel de Ville : « Aujourd’hui Paris, demain les Pyrénées ! »
Je suis María Lucero Cumpa Miranda, je suis emprisonnée depuis plus de vingt ans. En tant que femme péruvienne, j'ai nourri mon esprit et ma raison avec la jeunesse de mon temps, dans l'idéologie transformatrice et révolutionnaire de la société.
Le 26 mai 2009, à Abu Dhabi (Emirats arabes unis), Sarkozy inaugurait un nouveau complexe militaire français composé d’une base navale, d’une base aérienne et d’un camp pour l’armée de terre.
« C’est la première fois depuis cinquante ans, depuis les indépendances africaines exactement, que la France ouvre une base militaire permanente hors de son territoire national. » [1]
Lettre ouverte de Enrike Kuadra Etxeandia , prisonnier politique du Parti Communiste Espagnol reconstitué, à Jorge Fernández Dàaz, Ministre de l’Intérieur du Gouvernement espagnol à l’occasion de l’annonce du plan intégral pour faciliter la réinsertion des terroristes.
A la fin de l’année dernière j’ai dit que la première guerre cybernétique était déclarée. Je me suis complètement trompé en fait. J’étais en retard de 27 ans.
La première salve de la guerre a été tirée en 1984 par Stewart Brand : "L’information veut être libre" et elle a résonné dans le monde entier sous les acclamations générales, sans que ses implications soient vraiment comprises.