(La tempête Al-Aqsa et nous, le soutien à la résistance est un droit légitime (partie II) En janvier 2006, lors des (dernières) élections parlementaires en Palestine occupée, le Hamas, qui se présente sous le nom de Parti du changement et de la réforme, remporte le plus grand nombre de voix, soit 44 % contre 41% pour le Fatah, l'Autorité palestinienne. Le Hamas conquérait ainsi une forte majorité de sièges (74 pour le Hamas et 45 pour le Fatah). À partir de mi-juin 2007, en réponse à cette victoire électorale, Israël impose un siège total de Gaza, transformant ce petit bout de terre en ghetto et provoquant ainsi son implosion complète.
On ne prête pas assez attention à l’actualité économique. Ainsi quand la presse nous apprend que « Le Parisien et StudioFact ont annoncé la conclusion d’un accord par lequel le quotidien du groupe Les Echos-Le Parisien acquiert 30% du groupe de production audiovisuelle », on tourne la page, on s’en moque. Et on a tort.
"Certains d'entre vous vont mourir, mais c'est un sacrifice que je suis prêt à faire" Lord Farquaad (Shrek)
Ce qui s'est passé le 7 octobre en Israël est une une abomination, un acte de terrorisme touchant des civils sans distinction et ne doit souffrir d'aucune forme de complaisance. Ceci étant dit, la réponse d'Israël est elle aussi une abomination et les crimes de Tsahal n'ont rien a envier à ceux du Hamas sur l'échelle de l'horreur. Surtout, essayer de faire passer le bombardement de civils à Gaza pour un acte d'auto-défense, une réponse légitime d'Israël face à ses agresseurs, est intellectuellement malhonnête et moralement abject.
Abdel Fattah Abou Srour, est à l'origine de la création du centre socio-culturel Al Rowwad, dont il est directeur, dans le camp de réfugiés d'Aida (près de Bethléem). Il se condamne.
La Tempête Al Aqsa, l’offensive surprise de la résistance palestinienne lancée le matin du 7 octobre 2023, est l’insurrection d’un peuple enfermé dans un ghetto : incarcéré depuis des décennies dans des prisons, dans des camps de réfugiés, en Cisjordanie et à Gaza, la plus grande prison de sécurité maximum à ciel ouvert au monde.
Général de corps d'armée, il a été chef d'état-major du commandement de l'OTAN pour l'Europe du Sud et, à partir de janvier 2001, il a dirigé le commandement des opérations interforces dans les Balkans. D'octobre 2002 à octobre 2003, il a commandé les opérations de maintien de la paix dirigées par l'OTAN dans le scénario de guerre du Kosovo, dans le cadre de la mission de la KFOR (Force pour le Kosovo). Parmi d'autres missions, il a été attaché militaire à Pékin. Il a également dirigé l'école d'état-major inter-forces (ISSMI). Il a introduit en Italie la pensée militaire chinoise moderne en traduisant le livre des généraux chinois Qiao Liang et Wang Xiangsui Guerre sans limites. L'art de la guerre asymétrique entre terrorisme et mondialisation. Il a également traduit en italien le livre du général Liang « L'arc de l'empire. Avec la Chine et les États-Unis à chaque extrémité », une analyse d'un point de vue chinois du monde actuel dans sa transition de l'unipolarisme américain au multipolarisme. https://italienpcf.blogspot.com/search/label/Mini