"Chaque jour qui passe nous rapproche de la menace d'une guerre mondiale" avertissait, d'un ton grave, le 23 mai dernier, le ministre des affaires étrangères hongrois. Il aurait dû préciser que ce serait inévitablement une guerre nucléaire, et donc, à coup sûr, la fin d'abord de l'Europe, puis celle, à terme, de toute vie sur la planète. L'Apocalypse.