Actuellement les informations sur la guerre de Gaza (par exemple le 24 janvier au journal de 13 h de France Inter) réservent une part prépondérante aux 24 soldats israéliens morts en une seule journée dans les combats au sol.
L’ex-chef d’état-major de Colin Powell révèle dans une vidéo que la CIA, en 2018, avait ourdi une déstabilisation de la Chine en agitant les Ouïghours, des avocats du Département d’Etat états-unien préconisent d’abandonner la fable improuvable du « génocide », deux prestigieux intellectuels dont l’un a conseillé la Maison blanche et l’autre le secrétaire de l’ONU, font de même.
Il faut ajouter depuis peu Mehmet Sukru Guzel, un expert turc dans les domaines du droit et des droits de l’homme. Il est titulaire d’un doctorat et professeur honoraire de l’Académie internationale des sciences d’Azerbaïdjan. Il a été nominé trois fois pour le prix Nobel de la paix.
Voici la lettre courtoise, pas énervée, que j’ai envoyée à la médiatrice de France Inter.
A contrecoeur. Je ne voulais pas. Des lecteurs et des amis m’ont poussé.
Je pensais que réagir, c’est s’abaisser au niveau de ce chroniqueur et que c’est inutile : j’aurai en réponse, s’il y a une réponse, des arguties foireuses, du bruit fait avec la bouche.
A savoir : Tristan Mendès France est acoquiné à Rudy Reichstadt, « membre de l’Observatoire des radicalités politiques, fondateur du site ConspiracyWatch, observatoire du conspirationnisme et des théories du complot » (sic).
J’écoute France Inter, l’émission Antidote, et vous parlez, Tristan MENDES-FRANCE, de mon père, Maxime VIVAS, écrivain et cyberjournaliste. Dans votre chronique du vendredi 26 mars, vous commettez, en moins de 3 minutes 10, deux mensonges, une imprécision et une indélicatesse. Ce qui, vu le temps imparti, relève de la performance.
Simone Weil nous a tout appris en nous donnant un conseil " Croire à l'histoire officielle c'est croire des criminels sur parole". Mais les indignés sur commande qui font commerce de la vérité n'ont jamais lu Simone Weil. Alors, nouveaux chiens de garde, ils aboient pour le compte de leurs maîtres quand un aventurier ou un naïf, peut être un courageux, s'en vient à ne plus croire les criminels sur paroles. Et les dénonce. Ici les fusils des chasseurs de "fake news" les attendent. Le goudron et la plume, la boue aussi.
Voici la lettre courtoise, pas énervée, que j’ai envoyée à la médiatrice de France Inter.
A contrecoeur. Je ne voulais pas. Des lecteurs et des amis m’ont poussé.
Je pensais que réagir, c’est s’abaisser au niveau de ce chroniqueur et que c’est inutile : j’aurai en réponse, s’il y a une réponse, des arguties foireuses, du bruit fait avec la bouche.
Voulez-vous soulever une vague mondiale d’indignation contre un pays ? Vous affirmez que les hommes y sont massivement emprisonnés et torturés, voire exécutés en catimini, que les femmes y sont stérilisées de force et qu’on y supplicie les enfants. C’est ce que vient de faire, ce que fait, ce que va continuer de faire la presse mondiale, agissant en porte-voix de quelques journaux états-uniens inspirés en sous-main par des officines de la Maison Blanche.
Pierre Haski va intégrer le « 7/9 » de France Inter. « Tous les jours c’est à lui que reviendra désormais la mission d’analyser la marche du monde et de nous faire comprendre que nous en sommes les gardiens, ce que Bernard Guetta nous a inlassablement transmis », a déclaré Laurence Bloch, directrice de France Inter.