La beauté est souvent maudite. L’Italie n’attire pas les prétendants qu’elle mériterait. Le pays du Bel Canto, de Dante ou encore de Galilée, après des années ubuesques sous la coupe de Berlusconi n’arrive pas à s’extraire de la gestion du « démerde toi ! ». Avec Enrico Letta, homme de gauche très molle et… neveu de Gianni Letta – l’homme de confiance du « Cavaliere » – la Péninsule risque fort de rester sous l’empire de l’ « Arrangia ti ! ».