Au fil des années, j’ai de moins en moins aimé Claude Lanzmann. Autant j’avais été subjugué par Shoah, que j’avais vu dès sa sortie dans une petite salle parisienne, plus de neuf heures d’affilée, autant les prises de position de Lanzmann ces vingt dernières années m’ont souvent fortement déplu.
Je reproduis ci-dessous un article publié en 2009 sur le site du Grand Soir sur les mémoires de Lanzmann, Le Lièvre de Patagonie.