RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
Thème : Bernard-Henry Levy

L’image lugubre d’Israël : la terreur bleue et la décadence morale

Omar CHAALAL

Enfin, la vérité de La Palice sort de bouche de António Guterres. Ne possédant aucune force d’action pour sanctionner les criminels de guerre, il plaide pour un cessez-le-feu urgent. En faisant ainsi, son rôle se limite à un rabbin lamentateur, un imam inopérant ou un prêtre impuissant qui implore Dieu durant ses prières pour arrêter ce génocide. Monsieur António Guterres, il est temps de fermer votre club de complaisances. Mes respect Monsieur Guerres ! Je m’excuse ce n’est pas lapsus ou une faute de frappe ! Vous avez perdu votre (T) à Gaza. Nous remarquons que dans votre club la voix des plus forts se tait quand les crimes au Rwanda, en ex-Yougoslavie et à Gaza sont mentionnés. Par contre, cette voix crie tout haut et condamne quand le génocide d’Auschwitz est à peine murmuré.

L’image lugubre d’Israël : La terreur bleue et la décadence morale C’est la fin du temps et la pourriture politique pollue notre monde ! Plus de morale ! Plus d’éducation ! Les sauvages inhumains veulent arriver à un prétendu nouvel ordre mondial sous les bombes et les missiles. Drôle de nouvel ordre mondial ! Un monde tracé par le bruit des armes et l’opium politique. Les images diffusées dans les réseaux sociaux décrivent bien l’avenir de ce monde et montrent le dessin probable d’un avenir incertain pour des enfants innocents. Qui dit mieux ? A Gaza, des cadavres sous les décombres et des bébés enterrés vivants sous des débris de béton. J’enchaine mes idées par les paroles de Biden : si Israël n'existait pas, il faudrait l'inventer. Une semaine après cette déclaration, l’extrémiste ministre de la culture sioniste, Amichay Eliyahu, nous annonce qu’Israël veut lancer une bombe atomique pour exterminer les enfants de Gaza. Les règles du syllogisme peuvent être appliquées : tous (…) Lire la suite »

Le sauveur suprême

Bruno GUIGUE
Pour frayer sa voie jusqu'à la victoire finale, qui ne voit que l'Ukraine, aujourd'hui, a besoin d'un chef militaire sans égal, d'un meneur d'hommes au charisme exceptionnel, d'un sénéchal aux vertus guerrières éprouvées par des années de lutte sur tous les fronts ? Au moment où les valeureux soldats du monde libre à la Croix gammée livrent un combat acharné contre les forces du Mal, l'arrivée spectaculaire de ce chef providentiel sur le théâtre des opérations passerait immanquablement pour un signe du destin. Alors que tout paraissait perdu, l'irruption soudaine du maître de guerre, recru d'épreuves et arborant sa crinière grisonnante, changerait le cours de l'Histoire. Avec le largage de Bernard-Henri Lévy sur Bakhmut, avec ou sans parachute, peu importe, comment ne pas voir que cette guerre trouverait enfin sa véritable signification, qu'elle prendrait, avec l'ultime sacrifice de ce combattant infatigable à la noble figure, toute la dimension spirituelle qui s'attache au (…) Lire la suite »

Quand les éditions Stock, amies de BHL, débusquent le Ahmed.

Jacques-Marie BOURGET

Vous me direz que ce n'est pas grand chose que d'écrire ; le "vrai" prénom de Djouhri n'est pas Alexandre mais Ahmed. Personnellement je crois le contraire et tente de la démontrer. Au prétexte que cette offense touche un kabyle du 9-3 plongé dans le trou noir du monde des affaires, il semble que, pour les "investigateurs", tous les coups sont permis, dont celui-ci. Son arabitude et sa fréquentation de Sarkozy ont transformé ce citoyen en stand de tir. Je trouve ça indigne d'une presse mourante morte et d'une République bien malade.

Comparables à Lefevre et son « Beurre Lu » les éditions Stock sont vraiment utiles. Voilà une maison ficelée par la précision et la rigueur, comme le fer tient le béton. Dans les quelques lignes de propagande qui annoncent la sortie de « L’Affairiste », un bouquin consacré à la vie et à l’œuvre -supposées- d’Alexandre Djouhri. Mais Stock et son sens du parfait nous précise qu’ « Alexandre » n’est pas le véritable prénom de Djouhri. Qu’en fait il s’appelle « Ahmed ». Merci à Manuel Carcassonne, patron de Stock après avoir poussé sous la serre de BHL, de nous informer aussi complètement. Un malheur est vite arrivé, il suffirait qu’un citoyen mal informé finisse par croire que Djouhri est un nom italien, et le lecteur imaginerait derechef que le héros de l’ouvrage de Stock est natif du Tyrol ou du Frioul. Avec la précision utile, celle du « Ahmed », nous savons vraiment à qui nous avons à faire. A un pas de souche et mieux, un musulman. Sans la boussole de Stock nous resterions perdus (…) Lire la suite »

A propos d’un "hommage" mérité de BHL à A. Lacroix-Riz

Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF)
Disposant d’une tribune permanente dans Le Point, le magazine versaillais qui a battu tous les records de haine anti-Cgt au printemps dernier, le “philosophe” guerrier et milliardaire BHL vient de se livrer à une attaque violente contre le Monde diplo, coupable d’avoir ridiculisé ses obsessions anti- progressistes travesties en “défense des droits de l’homme” à la mode euro-atlantique. Certain que ses adversaires n’auront pas de droit de réponse dans l’hebdo favori du MEDEF, l’homme qui a inspiré la catastrophique intervention de Sarkozy en Libye (combien de morts et d’exilés à la clé ? ), BHL s’en prend bassement à plusieurs intellectuels parmi lesquels figure notre camarade, l’éminente historienne Annie Lacroix-Riz. Disons tout net que la rage de BHL contre ALR est un hommage, celui du vice à la vertu. Car c’est un honneur que de mériter les foudres d’un histrion qui incarne à la fois la furie des impérialistes contre les peuples, l’acharnement obscurantiste contre le (…) Lire la suite »

Libye : Sarkozy, Cameron et BHL en route vers la CPI ?

Gilles DEVERS
Ce massacre organisé en Libye était visible dès les premiers jours, avec l’activisme insensé de Bernard-Henri Lévy, et ses amours fugaces avec Sarko. À l’époque, Martine Aubry, première secrétaire du PS, approuvait cette réussite... Et Blanco en était tout excité... En effet, le but était, selon la propagande, de chasser un dictateur et d'établir la démocratie... avec quelques inévitables petits inconvénients secondaires. Air connu... Devant le désastre, la France a organisé une commission parlementaire afin d’identifier l’ensemble des responsabilités politiques... Non rassurez-vous, la France n’a rien fait. Le consensus national est total pour, quoi qu’il arrive, légitimer ce que fait la France pour garder sa place en Afrique, son empire jamais décolonisé. Il n’y a donc eu aucune commission parlementaire, et ce pour une raison simple : c’est parce que c’est un sujet sérieux, et en cherchant des responsabilités, on risque de les trouver. Non, il faut mieux exciter les foules (…) Lire la suite »
Avec Bernard-Henri Lévy, le « rossignol des charniers »

Et du « printemps » s’écoula un inutile flot de sang arabe…

Ahmed BENSAADA

« We came, we saw, he died » [1].

C’est ainsi que Hillary Clinton, alors secrétaire d’État, avait accueilli l’annonce du sauvage assassinat de Kadhafi. La tirade césarienne, théâtralement prononcée en appuyant chaque phrase avec un mouvement de l’avant-bras, était accompagnée d’un sourire fendu jusqu’aux oreilles, d’yeux pétillants de joie et d’un gloussement de plaisir que seul un profond bonheur peut procurer.

La nature humaine est ainsi faite : il y a des sentiments qu’il est difficile de dissimuler, même lorsqu’on est au sommet du pouvoir et que la retenue est une exigence de la fonction. Mais pourquoi diable madame Clinton a-t-elle réagit si joyeusement à un lynchage si inhumain ? Éprouvait-elle tant d’animosité pour Kadhafi qu’elle n’a pas pu respecter son devoir de réserve ? Et cela nous amène à une question fondamentale : l’inimitié des décideurs politiques peut-elle influencer la politique d’un pays envers un autre, quitte à y provoquer le chaos, la mort et la désolation ? La Libye Comme dans le cas de la Tunisie et de l’Égypte, des appels à manifester en Libye ont été relayés par les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en tête. Ainsi le 17 février 2011, un « Jour de colère » a été décrété, évènement qui a collecté près de 10 000 inscriptions sur Facebook. La contestation n’a pas débuté dans la capitale, mais à Benghazi, la seconde ville du pays. Des jeunes ont manifesté (…) Lire la suite »

L’ONU, les Libyens et BHL

Zouhir MEBARKI

Cynisme politique. Le Conseil de sécurité de l’ONU a publié un communiqué, samedi dernier, pour faire part de son « inquiétude » face à la dramatique situation que vit la Libye et les Libyens.

Eh, bien oui, l’organisation onusienne qui a autorisé les forces occidentales à bombarder ce pays à l’origine de l’effondrement de son Etat et du chaos qui y règne, ne trouve rien d’autre qu’un communiqué pour exprimer un « sentiment ». Quelle belle « jambe » pour la population libyenne qui souffre le martyre. Au fait, il y a combien de victimes en Libye depuis 2011 ? Aucun bilan n’est connu comme pour les autres zones de conflits comme en Syrie par exemple. Ce qui se passe dans ce pays, hier très riche et ses habitants aussi, n’a pas d’équivalent ailleurs. Tout le monde sait que c’est un complot concocté par l’organisation sioniste qui ne s’en cache nullement. Son représentant, le tristement célèbre Bernard-Henri Lévy s’en vante même. C’est lui qui a « instruit » le président français de l’époque, Nicolas Sarkozy, de recevoir et reconnaître officiellement les représentants du « Conseil national de transition » libyen, inconnu jusqu’alors. C’était le 10 mars 2011 à l’Elysée. (…) Lire la suite »

Les mails adressés à Hillary Clinton le révèlent : l’assassinat de Mouammar Kadhafi était programmé par la France

Ikram GHIOUA
La France de Sarkozy a bénéficié de la complicité d'un des proches de Kadhafi pour localiser la position de ce dernier et mettre fin à sa vie. C'est au moment où elle s'est déclarée candidate à la prochaine élection présidentielle et au moment même où la France et les États-Unis ne font plus bon ménage depuis la découverte des opérations d'espionnage de la NSA à l'égard de trois présidents français dont Sarkozy, que des mails, semble-t-il appartenant à Hillary Clinton, « révèlent les dessous de l'intervention française en Libye », rapporte le site d'investigation français Mediapart. Pourquoi maintenant ? A qui profite la médiatisation des courriels destinés à l'ancienne secrétaire d'État des États-Unis ? En tout cas on aborde « les intérêts économiques, le rôle controversé de Bernard-Henri Lévy (BHL), l'intervention des services secrets français et l'assassinat du dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi. Décryptage des principaux enseignements : en apparence la France souhaitait (…) Lire la suite »

Pétition pour la nomination d’un « ambassadeur de choc » en Libye : Bernard-Henri Lévy

Maurice LEMOINE
Le 17 février 2015, décrivant devant le Conseil de sécurité des Nations unies un pays qui pourrait devenir une menace pour l’Europe comme pour l’Afrique, le ministre libyen des affaires étrangères Mohammed Al-Dairi a appelé « à ne pas rester silencieux face au terrorisme en Libye ». Comme en écho, et évoquant le même pays lors d’une réunion de dirigeants sociaux-libéraux européens tenue à Madrid le 21 février, le Premier ministre français Manuel « 49-3 » Valls a estimé que le « djihadisme terroriste » était aux portes de l’Europe. De fait, depuis la fin de 2011 et l’élimination de Mouammar Kadhafi au terme de ce que l’OTAN présenta en 2012 « comme un modèle d’intervention », la « Libye libre » a quelque peu sombré dans le chaos. Partition, « somalisation », seigneurs de la guerre, clans mafieux… Livré aux milices, le pays est dirigé par deux Parlements et deux gouvernements rivaux. A la multitudes de groupes sanguinaires aux alliances changeantes – Ansar Al-Charia, Majlis Shura (…) Lire la suite »

BHL a trouvé une blonde pour faire le « printemps » en Algérie.

Jacques-Marie BOURGET

La Tunisie s’est remise sur pieds par la vertu d’un peuple qui a su se montrer exemplaire, la Libye reste brisée et en état de chaos, l’Egypte est à nouveau sous les verrous d’une dictature militaire. Pourtant les néoconservateurs -américains et européens- eux qui ont installé sur ces terres arabes les tréteaux de la tragédie, ne sont pas encore à bout de souffle. Ils n’ont pas renoncé et en veulent encore plus.

Avec pour fanal Bernard-Henri Lévy, le ludion qui leur sert de tête de gondole, le syndicat des « néocons » n’observe pas de relâche, et prépare ses nouvelles guerres. Avec de l’argent qui vient du Qatar, et les idées de Washington -validées à Tel Aviv- ouvrir un nouveau chantier de « révolution » est possible. Les deux prochains objectifs ? Provoquer un « printemps algérien ». Et que cette besogne ne vienne pas freiner un autre atelier en cours, recoller une Libye en morceaux et confier le pouvoir à des islamistes « acceptables ». C’est-à-dire des djihadistes discrets aux barbes biens taillées. Au lecteur sceptique je recommande la lecture des souvenirs d’Hillary Clinton « Hard Choices », les programmes, celui qui a raté et ceux à venir sont imprimés à l’intérieur. Comme un chien pour trouver la truffe, il suffit de suivre BHL pour savoir où les choses doivent se passer. Bêtement, en novembre dernier, il s’est fait coincer en Tunisie. Par des citoyens qui ne veulent plus (…) Lire la suite »
13