Enfin, la vérité de La Palice sort de bouche de António Guterres. Ne possédant aucune force d’action pour sanctionner les criminels de guerre, il plaide pour un cessez-le-feu urgent. En faisant ainsi, son rôle se limite à un rabbin lamentateur, un imam inopérant ou un prêtre impuissant qui implore Dieu durant ses prières pour arrêter ce génocide. Monsieur António Guterres, il est temps de fermer votre club de complaisances. Mes respect Monsieur Guerres ! Je m’excuse ce n’est pas lapsus ou une faute de frappe ! Vous avez perdu votre (T) à Gaza. Nous remarquons que dans votre club la voix des plus forts se tait quand les crimes au Rwanda, en ex-Yougoslavie et à Gaza sont mentionnés. Par contre, cette voix crie tout haut et condamne quand le génocide d’Auschwitz est à peine murmuré.
Vous me direz que ce n'est pas grand chose que d'écrire ; le "vrai" prénom de Djouhri n'est pas Alexandre mais Ahmed. Personnellement je crois le contraire et tente de la démontrer. Au prétexte que cette offense touche un kabyle du 9-3 plongé dans le trou noir du monde des affaires, il semble que, pour les "investigateurs", tous les coups sont permis, dont celui-ci. Son arabitude et sa fréquentation de Sarkozy ont transformé ce citoyen en stand de tir. Je trouve ça indigne d'une presse mourante morte et d'une République bien malade.
« We came, we saw, he died » [1].
C’est ainsi que Hillary Clinton, alors secrétaire d’État, avait accueilli l’annonce du sauvage assassinat de Kadhafi. La tirade césarienne, théâtralement prononcée en appuyant chaque phrase avec un mouvement de l’avant-bras, était accompagnée d’un sourire fendu jusqu’aux oreilles, d’yeux pétillants de joie et d’un gloussement de plaisir que seul un profond bonheur peut procurer.
Cynisme politique. Le Conseil de sécurité de l’ONU a publié un communiqué, samedi dernier, pour faire part de son « inquiétude » face à la dramatique situation que vit la Libye et les Libyens.
La Tunisie s’est remise sur pieds par la vertu d’un peuple qui a su se montrer exemplaire, la Libye reste brisée et en état de chaos, l’Egypte est à nouveau sous les verrous d’une dictature militaire. Pourtant les néoconservateurs -américains et européens- eux qui ont installé sur ces terres arabes les tréteaux de la tragédie, ne sont pas encore à bout de souffle. Ils n’ont pas renoncé et en veulent encore plus.