Si la catastrophe sanitaire exceptionnelle n’est pas suivie cet été par une canicule exceptionnelle, on pourra s’estimer heureux. Les Chinois ont contenu la pandémie au prix d’efforts exceptionnels, mais ils ont peur d’un retour via les pays extérieurs. A Bergame, on meurt comme des mouches.
Ici (chez moi), on n’a plus un mouton, plus une chèvre, plus un cheval. Il ne reste qu’un très vieux chat qui décline de jour en jour et qui va disparaître à son tour. C’est la retraite. J’espérais pouvoir aller à Notre-Dame-des-Landes après la cata. Mais, quel après nous attend ?
On peut supposer que les macronistes n’étaient pas contre le fait que les boomers lèvent les broches. Ça leur aurait fait bon débarras, rapport à toutes ces pensions de retraites et puis libérer de l’héritage pour doper l’économie, acheter des berlines et des voyages, investir dans les grandes capitales. On s’aperçoit que ça va toucher tout le monde et en premier les médecins et infirmières. Et si les maisons de retraites se vident, la silver économie va souffrir, crotte ! Les EPHAD, c’est quand même une sacrée branche de développement ! On n’est pas sortis de l’auberge, les gars (et les garces) !