Une maladie des os, la pycnodysostose, l’empêcha de dépasser la taille de 1,52 m. Il marchait difficilement sans canne. L’absence de fermeture de sa fontanelle l’obligeait à toujours porter un chapeau rigide. Sa barbe dissimulait sa mandibule fuyante. Il bavait et zézayait. Sa bouche était lippue et son nez protubérant.
Et c’était un grand !
Pour commémorer le 150 ème anniversaire de la naissance (24 novembre 1864) de cet illustre tarnais, Thierry Carcenac, président PS du Conseil général du Tarn, aurait (conditionnel) eu ce mot : « Mourir d’alcoolisme et de syphilis, à près de 37 ans, c’est une chose, mais c’est quand même relativement stupide et bête ».
Christine Bouttin aurait déclaré : « Je me demande comment le pape a pu autoriser le mariage de ses parents alors qu’ils étaient cousins germains ».
Heureusement, cette Mère la vertu ignore qu’il passa sa vie dans des lieux de perdition où il se livrait à l’acte de chair en dehors des sacrements du mariage.
Quant aux médias, ils évoqueront la célèbre affiche à l’écharpe rouge sans signaler qu’Aristide Bruant, ainsi peint, était un olibrius « ennemi de la féodalité capitaliste », des « fils-à-papa, des fainéants, des incapables ».
Théophraste R. (Tarnais de cœur, jauressien d’esprit, votutilophobe).
Et surtout, ne dites pas à Christine Boutin ce qui lui a valu son surnom de "la cafetière"...
Ces dames l’appelaient aussi : "Scout" (toujours prêt).
Comme disait ma grand mère, pourquoi faire cas des demi journées qui ne sauraient tarder atterrir dans les poubelles de l’histoire au regard de ce peintre de génie, je pense immanquablement à ce propos à Michel Petrucciani que le sort n’avait pas ménagé tout comme Toulouse Lautrec et qui aura su faire de sa vie une oeuvre magistrale ! https://archive.org/details/MichelPetrucciani ce lien sur un film docu exceptionnel sur la vie Michel Petrucciani, les sous titres sont en espagnol mais le film est en version gauloise !