RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Multinationales bancaires et organisations officieuses

Invité du Grand journal de Canal+ le 28 novembre 2011, Valéry Giscard d’Estaing, familier du groupe Bilderberg, permanent du Bohemian club et membre influent de la commission trilatérale s’est lâché à propos de la spéculation en Europe. L’ancien Président de la République française se confie à l’opinion publique :" On est manipulé. Vous avez dans le monde, des banques et des officines dont le travail est d’organiser la spéculation en Europe. Elles sont américaines en général, elles ne sont pas européennes"

Or, LeMonde.fr nous apprend que trois scientifiques suisses de l’école polytechnique fédérale de Zurick, spécialistes des réseaux complexes viennent de mettre en évidence par une étude pluridisciplinaire - physique, mathématique et économie - portant sur la détention du capital des 43 000 plus grandes entreprises mondiales, le rôle clef de la finance internationale. Les chercheurs ont tout d’abord découvert que sur une base de 37 millions d’entreprises, 737 firmes contrôlent 80% du PIB mondial. Et qu’un noyau dur de 147 firmes, généralement anglo-saxonnes, contrôlent 40% du PIB mondial. L’entourloupe voyez-vous, c’est que les trois quarts appartiennent au secteur financier ! ( Barclays, JP Morgan Chase & Co, Goldman Sachs, etc...). Cette étude accrédite une possible entente de la finance internationale et de ses "officines" pour des spéculations ciblées.

URL de cet article 15487
   
L’Etat voyou
William BLUM
Quatrième de couverture « Si j’étais président, j’arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les États-Unis. Définitivement. D’abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d’autres victimes de l’impérialisme américain. Ensuite, j’annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j’informerais Israël (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Analyser la réussite ou l’échec du modèle économique cubain en faisant abstraction d’un blocus criminel de plus de 50 ans, est une pure hypocrisie. N’importe quel pays capitaliste d’Amérique Latine, soumis à un blocus similaire, s’effondrerait en quelques mois.

Rafael Correa
ancien président de l’Equateur

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.