Maxime Vivas : « A suivre, nous ne serons pas déçus »...
C’est bien là le fond du problème. C’est parce qu’un certain électorat de gauche, et précisément une bonne partie de son électorat historique, est profondément écœuré par l’incapacité de la gauche-de-la-gauche à s’opposer clairement et frontalement au capitalisme dévastateur (de s’opposer à l’ "Europe" qui veut strictement dire la même chose, comme l’a très bien compris l’électeur basique, et même aujourd’hui la classe moyenne pourtant si politiquement obtuse), que l’extrême-droite a pris le pouvoir dans de petites villes moyennes dans lesquelles prolifèrent peu les bobos donneurs de leçon de gauchecommededroite, réfugiés, eux, dans les grandes métropoles universitaires à vocation... mondialiste (Toulouse, p.ex., pour rester dans le coin).
A suivre, oui... A suivre...