"Maintenant nous devons faire appel au Tribunal Suprême" a signalé Saúl Zaitsev, une des membres de La Insurgencia.
Le processus pénal contre La Insurgencia a été instruit par la juge Carmen Lamela, devant laquelle les jeunes se refusèrent a déclarer. Elle était dirigé contre les treize rappeurs de ce collectif, cinq d’’entre eux résidant à Vigo. L’un d’eu na pas été en jugement car il est mineur. Les douze prévenus ont entre 18 et 27 ans.
Durant le jugement, le procureur a déclaré que les chansons de La Insurgencia "propagent une méthode violente pour combattre un système qu’il considèrent injuste". Il a aussi réitéré que ces rappeur font l’apologie du PCE(r) Grapo. Les comparant avec les djihadistes, le procureur affirme que "les accusé ont une religion qui est la lutte syndicale ouvrière et que l’exploitation des opprimés nécessite une lutte armée contre des collectifs déterminé".
Les douze rappeurs de La Insurgencia sont les premier a être condamné a plus de deux ans de prison et si le tribunal suprême n’accepte pas leur recours il iront en prison. Alfredo Remírez, détenu lors de l’opération Araña [3] a été condamné a un an et demi de prison pour apologie du terrorisme. Mais postérieurement l’Audience Nationale décida son entrée en prison pour des antécédents d’une affaire antérieure d’apologie pour avoir demandé la fin de la dispersion des prisonniers en utilisant un mannequin de carton lors d’une fête à Amurrio. [4]
Movimiento Politico de Resistencia
