Bonjour
Ben mince alors
On aura tout vu
Si un des Merdia fait le boulot de LGS .
Ils attendent quoi les confrères qui ne mangent pas au râtelier pour porter plainte ,contre ceux qui se font graisser la patte, auprès de l’ordre des médecins

Au hasard, il me semble que les médecins sont tenus de dire avec qui ils sont liés (de près ou de loin) s’agissant de
laboratoires de l’industrie pharmaceutique... lorsqu’ils interviennent en public dont médias.
Si quelqu’un avait la même info ou aurait davantage de possibilités que moi pour faire les recherches
adéquates... Merci par avance.

Les efforts lamentables et pathétiques de Big Pharma pour démolir Raoult
https://yetiblog.org/archives/26725

Et après ça, vous êtes étonnés de voir les travaux de RAOULT,, PERRONNE,, et PAROLA en permanence discrédités ?

En lisant le lien de France-Soir, en résumé, sur les 13 classés vous ne voyez pas RAOULT, mais vous voyez que des anti-RAOULT.

En un mot, la cosa nostra de big pharma !

Pourquoi s’en étonner ? Quand on voit comme le serment d’Hypocrate est considéré par certains praticiens : tout au plus une coutume folklorique, un archaïsme, qui en aucun cas ne les fera douter de leur morale élastique(ou inexistante), comme lorsqu’ils pratiquent des dépassements d’honoraires scélérats.

Pourquoi s’en étonner ?

Comme je l’ai dit ailleurs, ce n’est effectivement guère étonnant : le budget de la recherche allant baissant irrémédiablement et la nature ayant horreur du vide, se multiplient donc les financements privés qui conduisent à des conflits d’intérêts.

j’ai lu quelques choses sur la baisse des budget à la recherche.

Non, ce n’est pas un hasard ! et le vide est laissé explicitement, pour être comblé par le secteur privé, (Big pharma en particulier). les Spécialistes du secteur de la recherche sont contient de cette réalité.
Comme l’état fait semblant de regarder ailleurs pour laisser le champs libre aux praticiens sans éthiques ou peu scrupuleux de se jeter dans les bras pharma ; et Tant que personne de dénonce cette pratiques condamnable, les ripoux continuent de se remplir les poches en dépit de la santé de la population qui leur faisait confiance (je dis : "leur faisait confiance"). Maintenant, que nous avons aperçu le sommet de l’iceberg on sait que la partie submergé est plus grande : la confiance nous l’avons barrée.

Deux ans se sont écoulés et les dernières illusions se sont envolés .
Le capitalisme sauvage américain a cannibalisé toute l’industrie pharmaceutique mondiale et soudoyé toute la classe politique européenne et la sobriété hospitalière et médicamenteuse s’installe tout doucement avec la complicité des sommités médicales de l’ordre des médecins qui fait la chasse aux sorcières des confrères qui ont soignés leurs patients , horreur ,avec des antibiotiques ,des antihistaminiques , de l’aspirine et même des substances déclarés en urgence illicites .
Doc Perronne a gagné une bataille certes et il est optimiste . Mais voir, à la 9ème minute pour ceux qui sont pressé , que l’on peut en douter.
https://www.youtube.com/watch?v=bFrNN0MoNms .
https://reseauinternational.net/le-jugement-perronne-pourra-t-il-aider-a-retablir-lhonneur-dautres-medecins-et-soignants-sacrifies-et-conduire-a-leur-reintegration/
Un patient c’est un malade pris en charge par un personnel de santé .
Prendre garde que le patient disparaisse et que le malade le reste sans prise en charge

@Caza
Certains ici ne comprendront jamais ce qui s’est passé à partir de mars 2020. Par exemple, impossible de leur faire admettre qu’on ne peut pas laisser des malades (en majorité âgés) seuls chez eux avec du doliprane et la mission de déterminer leur état et d’appeler le 15 s’il s’aggrave. N’importe quel clampin dans mon genre qui a hélas vécu un ou deux drames médicaux sait ce que les mots "déni de maladie" veulent dire. Et connaît les conséquences catastrophiques que ce processus peut avoir. Parce que des modélisateurs leur ont vendu des prévisions cataclysmiques (comme à chaque fois), les gouvernements occidentaux ont fait tout ce qu’il ne faut pas faire pour lutter contre une pandémie (entre autres folies, démobilisation de la médecine de ville et confinement absurde). Et comment a réagi la gauche ? Effarouchée par la personnalité un rien rugueuse d’un certain professeur (de droite, qui plus est, comme tous ses collègues), elle a repris en choeur le catéchisme débile du gouvernement et des labos.
Alors, piqûre de rappel : prise en charge, évalution des risques, surveillance, suivi et soins sont les mamelles de la médecine. En outre, on sait que dramatiser les choses (Salomon et son compte morbide journalier, Macron et sa "guerre", déjà) a un lourd effet nocebo sur les patients, qu’on ne doit jamais assommer avec un diagnostic, si grave soit-il. (Oui, tout bon médecin est dans une certaine mesure un "rassuriste", parce qu’il veut éviter que son patient se suicide en rentrant chez lui.)
Tous ces fondamentaux ont été jetés aux orties pour offrir une voie royale à des médicaments (redemsivir, etc.) et des "vaccins" qui ont fait la preuve de leur inefficacité - au minimum.

Héhé Rouba
Il était une fois , encore des fausses bonnes idées , germées dans le cerveau dégénéré de mercenaires du capital , où il fut décrété que pour pouvoir fermer tranquillement des lits d’hôpitaux on allait confiner les malades en fin de vie ( heu pardon hospitaliser ) chez eux .
C’était il y a une quarantaine d’années .C’était l’hospitalisation à domicile .
Ben oui le premier taré de technocrate ,prêt à euthanasier père et mère pour son avancement ,sait que ce sont les dernières semaines de la vie qui coutent le plus cher .
L’autre bonne idée pour assassiner les labos français a été celle des génériques qui ont fait économiser des clopinettes mais ont ouverts le marché français aux mercenaires israéliens et américains qui se contrefoutent de politique de santé publique .
L’autre bonne idée , datée des années 70 , était pour empêcher l’accès aux soins ,donc de gaspiller , de bloquer l ’accès aux études de médecine ou pharmacie , ben oui faut comprendre ,ya que les meilleurs qui peuvent accéder au métier .
Et de se moquer des italiens ou des anglais où il n’y avait pas de libre choix du médecin avec une médecine qualifiée au rabais voire collectiviste .
On a vu le résultat avec l’arrivée de médecins étrangers et les déserts médicaux .
Perso les petits cochons de l’ordre ont essayé de me croquer et ont réussi à changer mon horizon prof .
Je les remercie .
Ce sont des moments où les syndicats et les cons pas frères serrent les fesses et baissent la têtes pour sortir leurs revenus indemnes
Perronne , Raoult et d’autres sont des vrais rebelles au service de la santé publique .
Les autres sont des traitres et des sous merde

@Caza
L’hospitalisation à domicile (fin de vie), j’ai donné, oui. Quand on a quelques connaissances en médecine, un sens naturel du soin, des nerfs solides, des proches soignants qui peuvent assurer certains gestes hors des horaires de passage des infirmières et un espace vital suffisant (c’est fou la place qu’il faut pour un lit médicalisé et tout le matériel nécessaire), c’est déjà un cauchemar - la première fois de ma vie où j’ai compris, au milieu de chacune de ces nuits, ce que voulait vraiment dire le mot "solitude". Si on n’a pas tout ce que je viens de citer, c’est une torture. Mais que faire quand un médecin (qui n’y peut rien) annonce qu’il n’a pas de possibilité d’hospitalisation palliative et que ta pauvre malade sera trimballée de service en service, au gré des lits qui se libèrent ?
Parfaitement d’accord aussi sur les génériques - parfois, ma metformine fabriquée en Inde pue le poisson pourri à en faire vomir un cadavre - et le reste des idées "géniales" visant à faire des économies. Hier, je crois, le ministre de la santé à déclarer qu’il ne "faut pas courir aux urgences pour une bronchiolite". C’est vrai que le médecin généraliste peut suffire (à condition de faire le bon diagnostic)... surtout la nuit ou le week-end, quand il est injoignable et laisse (parfois) sur son répondeur le conseil d’appeler le 15 ou d’aller aux urgences.
Pendant mes désastres médicaux, j’ai rencontré des médecins extraordinaires et des salopards je-m’en-foutistes et bordéliques. Comme tu le dis si bien, Caza, il y a les héros et les sous-merde.