C’est un exemple clair de l’utilisation des lois soi-disant "anti-terroristes" pour faire pression sur les personnes qui usent de leur droit de parole. Il faut l’ajouter à d’autres, comme l’interdiction d’entrer au Canada imposée récemment à M. Galloway.
Pendant ce temps, nous envoyons des jeunes gens appelés "soldats" en Afghanistan pour qu’ils tuent d’autres gens, des Afghans, appelés "suspects" ou "terroristes", au nom de la défense de notre "life style."
Il sera bientôt interdit de rire et de pleurer.