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Auteur : Ximena GAUTIER GREVE

CHILI : ZONE DE NON DROIT POUR INDIENS MAPUCHE

Ximena GAUTIER GREVE
INDIENS PRISIONNERS POLITIQUES EN GREVE DE LA FAIM SERONT NOURRIS DE FORCE. par Ximena Gautier Greve, écrivain, correspondant mapuche à Paris. L'évêque de Concepcion Mgr. Ricardo Ezzali en réunion avec les familles des indiens mapuche prisonniers politiques. se déclara solidaire avec eux et affirma la légitimité du droit qu'ils ont à faire cette grève de la faim, puisqu'ils ne désirent pas mourir, mais être entendus par le ministère public. L'évêque ajouta que la loi antiterroriste est appliqué abusivement contre ces paysans. Il annonça sa volonté de visiter les prisons de Concepción et de Lebu avec l'intention de devenir médiateur dans ce conflit. Ce qui précède est le premier point du Communiqué émis le 26/8 par l'association qui coordonne les familiers des prisonniers politiques mapuche en grève de la faim depuis le 12 Juillet. Le Communiqué est adressé au "Peuple-Nation Mapuche, au peuple du Chili et à la Communauté Internationale." Les familles informent avoir été reçues par Luis Manferrer, (...) Lire la suite »

CONTRE LE BAILLON ANTIMAPUCHE DES MEDIAS : prisioniers politiques entament 45 jours en greve de la faim.

Ximena GAUTIER GREVE
32 prisonniers mapuche en grève de la faim (45ème jour) par Ximena Gautier Greve.- Correspondant Mapuche à Paris. Le lundi 23 août à 9H00, heure du Chili (16H00, heure de Paris), l'organisation " Mapuche Ta Inchiñ Nation Mapuche " a occupé les locaux de la Radio Bio Bio de Santiago et a aussitôt émis des communiqués, trente minutes après le début de l'action. Un journaliste sportif de la radio envoya des commentaires par Twitter en affirmant que les journalistes et les employés étaient enfermés dans une salle des locaux. Les indiens en costumes traditionnels, ponchos et portant des drapeaux noirs, cadenassèrent les portes en empêchant tout accès et sortie. Le journaliste Miguel Cajas a signalé que les indiens gardaient une attitude calme, malgré le grand bruit qu'ils faisaient en criant dans un mégaphone leurs demandes et en jouant de leurs instruments indigènes (vents et percussions). Pendant ce temps, d'autres autochtones (hommes et femmes) restaient en dehors de l'immeuble et avaient accroché sur (...) Lire la suite »