Auteur Franco VIELMA

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Maradona et le Chavisme

Franco VIELMA
Ceux qui profitent de la mort de Maradona pour dénigrer Maradona et le chavisme ont une stature morale tellement inférieure qu’ils ne comprennent pas et ne comprendront jamais ce que nous sommes, nous les chavistes, ni ce qu’est Maradona. Le chavisme ne regrette pas l’amitié de Maradona parce qu’il a pris de la drogue. Nous ne nous en soucions pas. Nous l’aimons en raison de sa dimension humaine et réelle. Tout ce que nous pouvons dire de lui, c’est qu’il était génial, merveilleux et (…)
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Pourquoi ne mettent-ils pas Guaido en prison ?

Franco VIELMA
C’est une question qui revient sans cesse. Et c’est d’ailleurs dommage que cette question soit si courante, car cela signifie que tous ceux qui se la posent n’ont pas compris le problème. Il y a pourtant une réponse courte et une réponse longue à cette question. La réponse courte : ce n’est pas le moment. Peu importe ce qu’il a fait. Ce n’est pas le moment. La réponse longue : Guaido est la principale source d’information et d’erreurs dont ont besoin les services de renseignement (…)

Que cache le harcèlement dont ont été victimes les médecins cubains en Bolivie ? (Mision Verdad)

Franco VIELMA
Les analyses du coup d’État en Bolivie faites depuis la France oublient bien souvent les conditions très concrètes qui surdéterminent la marge de manœuvre dont disposent les gouvernements progressistes ou révolutionnaires latino-américains pour mener à bien leur tentative de sortir du carcan capitaliste ou, du moins, d’en desserrer l’étau. Les sociétés postcoloniales, comme les appelle Alvaro García Linera, ont presque encore à faire leur 1789, autrement dit à annuler les privilèges (…)

Nouvelle donne politique au Vénézuéla… et retard de l’information en France

Franco VIELMA
Retour au galop du réel refoulé par les grands médias. Alors que ceux-ci qualifiaient de « prisonniers politiques » les leaders d’extrême droite arrêtés pour possession d’explosifs ou organisation de violences meurtrières avec l’appui paramilitaire d’Alvaro Uribe, la droite vénézuélienne reconnaît à présent qu’il n’existe que des « personnes arrêtées ». Plus surprenant encore, elle admet la réalité d’une guerre économique qu’elle qualifiait jusqu’ici d’invention du président Maduro « pour (…)

Venezuela : Un referendum révocatoire en 2016 ? (PSUV)

Franco VIELMA
L’anxiété de l’opposition est évidente, ils travaillent simultanément sur la voie des institutions et à des activités profondément déstabilisatrices pour favoriser un changement politique au Venezuela en essayant de capitaliser plus de 3 ans d’affaiblissement économique qu’ils ont très bien su articuler contre la population. Ils entendent prendre le pouvoir (par n’importe quel moyen) en 2016. En faisant un pastiche Beaucoup d’entre nous doivent se demander : A quoi est dû le tapage (…)

Les autres pays qui s’appellent “Venezuela”

Franco VIELMA
Ce qui se passe au Venezuela ne peut être réduit à une définition. Il y a une “crise” dans le pays mais il y a beaucoup plus que cela. Il y a un processus de changement politique parce que le fait social a acquis un dynamisme inédit. Notre économie est l’espace de cette “crise” : le vieux se dénude comme une structure face à de nouvelles formes d’organisation économique qui se fraient un chemin contre toute inertie. Depuis seize ans la droite vénézuélienne parle de « crise » comprise comme (…)

Venezuela : La question des expropriations à l’ordre du jour.

Franco VIELMA
Le même Nicolas Maduro qui, il y a deux ans, en début de mandat, invitait les chefs d’entreprises au palais présidentiel pour tenter de nouer le plus large dialogue, arrive aujourd’hui à l’étape qu’il savait possible : l’obligation de mettre au pied du mur les acteurs de la guerre économique, du système de sabotages et d’accaparements comme éléments d’une guerre d’usure visant à mécontenter la population. Contrer les plans de ce secteur privé impliqué dans une stratégie de coup d’État, a (…)

Les tyrans pétroliers dans le monde.

COMAGUER, Franco VIELMA
(COMAGUER : ) Nous avons choisi de traduire et de diffuser ci-après l’article d’un sociologue vénézuélien mis en ligne la semaine dernière car il est intéressant à plusieurs titres : - Il souligne que tout pays détenteur d’une matière première stratégique pour la puissance impérialiste dominante et ses alliés est sous surveillance et que selon la politique qu’il mène pour la gestion de cette ressource nationale il va tomber ou non dans la catégorie des « tyrans » ou rester un « ami ». (…)