Voilà que maintenant ils font la gueule. Comme si la sainte apocalypse, TMI-Tchernobyl-Fukushima, s’était dégonflée comme une vulgaire baudruche. Et que, brusquement, pour le peuple des réseaux sociaux, ces catastrophes n’étaient plus que des accidents avec des bilans, certes lourds, mais limités.
Si Marx vivait encore, une nouvelle occasion d'ajouter une nouvelle "saison" à sa "lutte des classes en France" lui serait fournie.