Le président Bush parlait exactement comme un progressiste.
Ouais, vous avez bien lu. Bush. Progressiste. Dans la même phrase.
A la nouvelle ambassade américaine de Beijing, le jour d'ouverture des Jeux olympiques, il a déclaré :
"Chacun devrait avoir la liberté de dire ce qu'il pense". Sans même battre un cil, il a également dit à la planète entière, en s'adressant aux Chinois : "Nous avons la conviction que les sociétés qui permettent la libre expression des opinions tendent à être les plus prospères et les plus pacifiques".
La veille, au Tibet, il avait affirmé courageusement : "L'Amérique est fermement opposée à la détention de dissidents politiques, de défenseurs des droits de l'homme et de militants religieux".
Il a déclaré qu'il se prononçait "en faveur de la liberté de la presse, de la liberté de réunion et des doits des travailleurs, non pas par provocation vis-à -vis des dirigeants chinois mais parce que donner plus de liberté à son peuple, c'était la seule façon pour que la Chine puisse (...)Lire la suite »