Les sanctions de Jean Christophe Cambadélis contre Gérard Bapt.....du Pipeau
Le tollé suscité en France par la visite d’une délégation parlementaire française en Syrie, dont trois membres ont rencontré le président Bachar Al Assad, a constitué, quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, un camouflet majeur à la diplomatie française, jusque là maître d’œuvre de la conduite de la politique de la France à l’égard de Damas.
Les Français ont joué à la roulette russe à l’élection présidentielle de Mai 2007. Nicolas Sarkozy a gagné, la France a perdu.
Ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l’AFP, René Naba vient de publier un ouvrage sur l’Arabie saoudite (1). Il y décrypte les enjeux du prochain déplacement, prévu fin mars, de Barack Obama au « royaume des ténèbres », dans un contexte tendu par les crises syrienne et ukrainienne.
Paris – Un an après la visite de l’Émir du Qatar à Gaza, le 24 octobre 2012, Hamad du Qatar est en rade et le Hamas en panade.
Qualifiée d’« historique » [1] par la presse atlantiste et célébrée par les intellectuels organiques français et leurs affidés qatarologues comme « le triomphe du soft power » de la principauté pétrolière, cette visite a pris la dimension d’un effroyable gâchis. Un an après que sont donc devenus les protagonistes de cette mascarade (de l’arabe maskhara) au goût de sang et de cendres ?